Plongez dans l'univers de nos auteurs
CHANCEL PIERRE - Ceci n'est pas un short
Un short boueux après un match de rugby est bien plus qu’un short. C’est une œuvre d’art riche de l’action où tout se joue sur une fraction de seconde, un cœur qui tape, un bonheur immense, une douleur parfois. Ce short raconte des sensations inoubliables !
Dans ces textes, les joueurs ne sont plus des bourrins qui se rentrent dedans ou des rapides qui s’évitent. Ce sont des humains qui te donnent tout sans retenue, des êtres vrais, beaux et cons à la fois.
Ce jeu est élégant, intelligent, toujours rude, mais il te donne accès à un monde où tu renonces à l’ordinaire pour accepter l’extraordinaire, où tu vis l’instant présent sans limites pour ressentir pleinement la magie des émotions.
D’ailleurs ces émotions, comme un bon vin, n’ont de valeur que si elles sont partagées. Partagées avec les copains sur le pré, avec les curieux, les rêveurs, les jouisseurs, les lecteurs et avec toutes celles et ceux qui aiment la vie et ses passions.
Alors les amis, on cause intensité, trouille, bonheur, déraison, humanité dans ces histoires. Laissez-vous aller. Ça se lit, ça se vit, allez-y !
OSTWALT SOPHIE - La bourse ou la vie
Beaucoup trop de femmes se font agresser en France. Mais comment peuvent-elles apprendre à se défendre dans une société de plus en plus violente ?
À travers six nouvelles, découvrez l’histoire de Françaises d’âges et d’origines différents, victimes d’agression.
CESALLI SEVERINE - Le déni qui tue - Ou comment penser l'impensable
En se basant sur six récits inspirés de sa pratique pédopsychiatrique suivis d’éclairages théoriques, Séverine Cesalli vous propose de plonger sans jugement dans ce monde intrapsychique où dénis et réalités internes et externes s’entrechoquent pour le meilleur et pour le pire, en abordant différents types de dénis tels que le déni climatique, l’inceste, la maladie et bien d’autres.
Pourquoi fait-on du déni ? Notre perception de la réalité est beaucoup plus influencée que nous ne le pensons par nos désirs, nos besoins et nos craintes. Le déni au sens psychanalytique est une défense de nature psychotique, un rempart utile pour permettre à la majeure partie du psychisme de continuer de fonctionner, mais au prix d’un clivage d’une partie de la réalité et d’une partie de nous-même, ce qui peut s’avérer destructeur. Dans le langage usuel, en revanche, le déni renvoie à toute une gamme de défenses variées.
Que faire face au déni ? Avec une meilleure connexion à nous-mêmes et aux autres, avec une meilleure compréhension des processus qui mènent au déni, il est possible de mieux faire face à la réalité et de trouver plus de bien-être, de souveraineté et de liberté intérieure.
De même, face aux difficultés à venir pour l’humanité, plutôt que privilégier les défenses faciles du déni et de l’évitement, une meilleure adaptation à la réalité nous aide à penser ce qui nous paraissait impensable, à nous y préparer, à améliorer notre maturité collective ainsi que notre résilience… et qui sait, peut-être même à modifier positivement la trajectoire de l’humanité ?