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BUISSON REGIS - Stagiaire dans l’enfer vert - Numéro deux à Manaus
Nouvellement affecté comme jeune capitaine dans une unité parachutiste de forces spéciales et alors que la guerre semble inévitable dans le golfe Persique, l'auteur est envoyé contre toute attente en formation au Brésil pour y suivre un stage considéré comme l'un des plus durs au monde : le stage de survie et de combat en jungle de Manaus.
Dans un cadre très éloigné de ses références pédagogiques, il n'y est plus qu'un numéro confronté à la nature sauvage, au stress et à son pire ennemi, lui-même.
L'adage « à entrainement difficile, guerre facile » prend alors ici tout son sens, et ce stage devient ainsi une redoutable école de vie et de résilience pour laquelle il nous partage son expérience.
À sa sortie de St Cyr, Régis BUISSON sert dans les chasseurs alpins ou il acquiert tous les diplômes militaires de haute montagne. Après quelques années, il est recruté pour ses compétences dans les forces spéciales et devient spécialiste de la survie et du combat en milieu difficile. Il acquiert surtout une résilience qui l'aidera toute sa vie et en particulier lors de sa seconde carrière dans de grands groupes industriels pour la gestion de crise.
BALIVET LAURA - Défaillance – Tome 1 : Première lune
Une mafia russe travaille sur un projet génétique : transformer des enfants en loups-garous pour servir de nouvelle arme de guerre. Une louve blanche parvient à s’échapper de cet enfer. Elle devient alors la clé de tous les possibles. Mais vite retrouvée, sa liberté est entravée par de nouvelles chaînes. Elle perd la mémoire.
Assaillie par un passé qui ne semble plus lui appartenir, elle doit apprendre à vivre dans un monde qui semble en attendre beaucoup d’elle.
La seule solution pourrait être de recommencer sa vie à zéro mais peut-on réellement fuir son destin ?
VALLAR CHRISTOPHE - Nous avions dix-sept ans
Clermont-Ferrand, 1990. Lui, c’est Christophe, bien que le temps vienne de lui sculpter dix-sept ans sur les épaules, il reste encore des choses à polir. Plus guitariste que lycéen, il vit bien au milieu du clan de sa bohème, chacun se reconnaissant dans la paresse de l’autre. Viendra pourtant le moment de quitter les habitudes du bistrot, l’odeur de l’expresso sur les vestes, et d’attraper son Bac en plein vol, puisqu’on atteint la cible toujours à la dernière seconde. D’une main, dire adieu au cercle privé de Godefroy de Bouillon, de l’autre, ouvrir les volets de son été. Là-bas, ce sont les portes de Castelsarrasin qui vont lui ouvrir l’appétit de l’oisiveté, si précieuse dans son assiette, qu’il va même en partager l’abondance avec Fifi l’ami d’enfance. Au fur et à mesure que leurs journées s’étirent et n’en finissent pas, toute la petite musique intérieure va s’en trouver peu à peu, intimement bien désaccordée. Jusqu’à elle, celle qu’on n’attendait pas, blonde comme un blé, de l’azur plein la pupille. Vanessa, c’est d’abord un prénom, et très vite la couleur des sentiments. Le trouble d’une vie face à la moitié de cet homme qu’il n’est pas encore. Et cela, quelles que soient les fièvres dont l’amour se régale, qu’il ait décidé de vous soutenir le regard ou pas, qu’il vous supplie de résister autant que lui céder du terrain. Des questions qui vont dormir debout, se planter dans les yeux, comme des chansons de Jean-Jacques Goldman.