Difficile de ne pas se laisser envahir par une fébrilité aussi nouvelle qu’inconnue à la demande de valider le BAT de votre premier livre, mais difficile de ne pas être touché par la considération manifestée par la maison dans le soin et l’intelligence des ajustements que la relecture vous souffle.
Merci pour cette délicieuse impression de ne plus se sentir seul, un peu porté.
D’un seul coup, vous prenez conscience de sa réalité et de ses obligeances pour établir une confiance sans laquelle rien n’est vraiment abouti. Merci pour cette indicible sentiment d’avoir été repéré, un peu identifié.
Et vous Le tenez en main, ni détaché ni dépossédé, matérialisé, commercialisé.
Merci, infiniment, aux Trois Colonnes, à Karen, à Lysianne, à Elodie, à Fanny, à Océane.