Réchauffement climatique, menaces sur les démocraties et la liberté, procrastination face à ces enjeux quasi existentiels, promesses électorales invraisemblables, complaisance paresseuse des médias de l'émotion, cécité collective face à l'ampleur des défis, individualisme et narcissisme... autant de défis et de signes de l'impuissance démocratique face à l'urgence.
Dans la première partie de l'ouvrage, Yoland STREHL livre une analyse sans concession de la genèse de cette impuissance. Il en décrit les multiples effets délétères en passant en revue la situation économique, la politique énergétique, la fiscalité, l'éducation, la justice, la question des retraites, la PMA pour toutes ou encore la gestion de la crise Covid.
Dans la seconde partie, partant de ce constat, il propose un projet global pour rendre l'avenir de nos enfants le plus favorable possible. Il relie dans une vision d'ensemble, nourrie de nombreuses propositions, la politique internationale, le projet européen, le redressement économique de la France, la restauration d'une envie de démocratie. À la suite d'un développement pédagogique original sur l'économie et le défi du développement durable, il avance des solutions pour conjuguer efficacité économique et solidarité et couronner de succès nos efforts indispensables. Il invite les Français, croyants et agnostiques, à être « associés » en étant fidèles aux valeurs de la République et à notre constitution d'une parfaite modernité. Il nous exhorte : avançons ensemble, ayons la lucidité et le courage pour rendre possible ce qui est nécessaire.
Âgé de 70 ans, Yoland STREHL est aujourd'hui à la retraite. Durant sa carrière chez EDF, il a occupé différentes fonctions en ressources humaines, gestion et finances. Ce diplômé de l'École polytechnique détient une formation d'économiste et s'intéresse aux questions économiques et sociales depuis son adolescence. Consterné par l'incapacité de la France à se réformer et retrouver son dynamisme, il tente de percer dans cet essai, le plafond de verre politico-médiatique du prêt-à-penser simpliste et manichéen.

Dans ces nouvelles, les endroits, les époques et les noms importent peu  c’est vous, c’est moi, puisque nous sommes les singes. La loi des singes est une même chanson qui se répète, sempiternelle, et dont la vie de tout un chacun marque un tempo régulier, à la fois spécifique dans sa mélodie et commun à tous dans sa cadence.
Ces histoires un peu décalées tentent de mettre le doigt sur les théorèmes qui dénotent, les histoires qui détonnent, parfois tragiquement, souvent avec poésie, toujours dans le mystère le plus complet.

Un cinéphile est, en règle générale, un être pondéré qui fréquente de paisibles ciné-clubs, s’habille en tweed, fume la pipe, ne jure que par les Cahiers du cinéma, et vénère des valeurs solidement établis tels que Fritz Lang, Murnau ou encore Hitchcock. Jean-Maurice, lui, est un véritable ciné-addict, notre homme, non-fumeur de pipe et à la vêture passe-partout, court depuis l’adolescence les cinémas de quartiers, dévore les fanzines mal ronéotypés, amasse VHS et DVD improbables et hante les festivals cinématographiques à travers l’Europe entière.
Dans ces confessions amusées, Jean-Maurice nous entraîne dans cette quête infatigable qui le mène, de salle en salle et de film en film, à la poursuite de l’émotion rare. Dans son sillage, c’est tout un cinéma baroque et coloré, et bien souvent oublié des manuels officiels, que nous (re) découvrons.
Entrez vite, la séance est sur le point de commencer…