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GODDE XAVIER - Économiste de la construction
Vous et moi venons par route ou par rail, mais
les Économistes voyagent en infrastructures.
Margaret THATCHER
L'économiste de la construction, méconnu du grand public, méritait un tel ouvrage professionnel de référence pour l'ingénierie technico-économique. Ce livre présente ici les différentes facettes du métier et fournit de nombreuses recommandations, méthodes et exemples concrets.
Comme un auteur à succès eut, à l'occasion, un nègre, on peut penser que l'économiste de la construction serait le nègre de l'architecte. Selon La Dame de Fer précisant qu'il transite en infrastructures (oeuvrant en architecture), il décrit, mesure et estime, suivant les plans architecturaux, les travaux à exécuter, pour construire le projet.
Mais, peu à peu, le travail de l'économiste de la construction devient mieux (re)connu, garantissant à ses clients le respect des coûts budgétaires. Non réglementée, cette profession gagne en notoriété, valorisant aussi l'image du bâtiment, et faisant tomber les critiques habituelles. Replaçant ainsi l'intervention des acteurs de la maitrise d'oeuvre dans l'ordre de préséance.
À terme, sans architecte, peut-être serait-ce l'anarchie
? À moins que l'économiste de la construction n'assume alors le rôle premier de fédérateur généraliste...
Xavier Godde est né en Bretagne en 1969. Il est titulaire d'un DUT de génie civil et d'un diplôme anglais BSc (honours) Quantity Surveying d'économiste de la construction.
En exercice depuis vingt ans (www.bxg.fr), il est qualifié OPQTECC (missions économiques de l'ingénierie), instructeur OPQIBI (maitrise des coûts, cout global, OPC) et expert judiciaire.
Il vit à Lyon avec son épouse et ses cinq enfants.
CAZAL MIREILLE - Nos corps, nos neurones, nos moi, nos vies
Qui sommes-nous ? Notre Moi, nos pensées résident dans nos neurones du cortex préfrontal (NCPF) en lien avec nos neurones de l'hippocampe, responsables de notre mémoire. Connaitre nos neurones parait donc indispensable pour mieux nous connaitre, et mieux les utiliser pour diriger nos vies : « Un homme averti en vaut deux ».
Les données des neurosciences sont donc essentielles dans ce but. Elles permettent de confirmer de nombreuses expressions populaires car c'est avec nos neurones que nous pouvons étudier nos neurones. Ainsi, les neurosciences sont les seules sciences ou la fin et les moyens sont confondus donc par l'introspection, il nous est possible de vérifier les résultats neuroscientifiques.
Ce livret n'est ni un cours, ni un roman. Il demande une attention régulière, un effort, un petit effort qui sera de plus en plus facile... et aussi une source de bonheur, comme dans tout effort !
Il est en quelque sorte un modèle pour apprendre à utiliser nos neurones. Mais il est évident que chacun de nous est particulier et différent. Il n'est pas question d'appliquer tout ce que je propose qui est en fait adapté à ma propre individualité. Chacun doit trouver son propre chemin.
Chers lecteurs, je vous invite à lire ce livret pour prendre conscience de l'importance de nos neurones et surtout de nos NCPF dans nos vies. J'espère qu'il vous aidera à mieux les connaitre, à mieux vous en servir et à développer ainsi vos aptitudes au bonheur.
Mireille Cazal s'est intéressée principalement à deux sujets au cours de sa carrière de chercheur en neurobiologie au CNRS : Les corpora cardiaca des Arthropodes, analogues de l'hypophyse des Vertébrés La mort neuronale chez l'Homme en post-mortem et la Souris en culture primaire, ce qui lui a permis de publier, entre autres, dans Nature. Aujourd'hui retraitée, elle partage son point de vue sur nos Moi et nos vies.
PERRET NORAH - C'est pas ta faute
En 2020, alors que j’étais âgée de seulement 19 ans, on m’annonce que je suis atteinte d’un cancer, un lymphome de Hodgkin plus précisément. Normalement, ce sont les personnes âgées qui ont des cancers, pas les jeunes, du moins c’est ce que je pensais. Et je le constatais, dans les salles d’attente des hôpitaux, des cabinets d’examens ou encore des laboratoires médicaux : j’étais toujours la plus jeune.
Durant cette période, je me suis sentie seule. Il me manquait cruellement quelqu’un avec qui j’aurais pu partager ce que je vivais, quelqu’un qui puisse comprendre ce que c’est que de voir sa vie s’effondrer alors que l’on vient à peine de la commencer.
Vers la fin de mon traitement, j’ai commencé à écrire ce livre, une sorte de guide, de marche à suivre, afin que d’autres puissent se sentir moins seuls face à ce genre de situations déroutantes, en espérant que cet ouvrage leur servira de refuge dans les moments difficiles.