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COLOMBET CLEMENCE - Une relation toxique - La rose, l’épine et le sang
J’étais persuadée d’avoir trouvé le grand amour, le véritable amour. Mais petit à petit, le comportement de mon compagnon a changé. Celui qui était doux, empathique et attentionné au début, est devenu froid, humiliant et méprisant par la suite. Vrai manipulateur, il savait se justifier et me faire culpabiliser.
À travers ces textes, je vous livre donc mon vécu, celui d’une jeune femme sous l’emprise d’un pervers narcissique. Lorsque l’on se trouve emprisonnée dans ce tourbillon infernal, il ne reste qu’une option : s’échapper au plus vite des griffes de son bourreau.
Si vous êtes dans ce cas, j’espère vous redonner un peu d’espoir, le chemin vers la reconstruction est long, mais en vaut la peine. C’est une question de survie.
QUENTEL JEAN - Carnets de Voyage : Les Chines
Ce livre n'est pas seulement un carnet de voyage. Il regroupe un ensemble de réflexions sur les voyages réalisés en partant de Singapour en 1988, en passant par Hong Kong ou encore par la Chine des Hans, la Chine tibétaine en 1995, jusqu'en 2010 dans la Chine des minorités ethniques du Yunnan, du Guizhou et du Guangxi.
Chaque jour, vous serez amenés à découvrir de nouvelles villes, villages et de nouveaux paysages. C'est l'occasion d'admirer des temples, des monuments, des costumes traditionnels et d'observer des habitudes de vie originales. J'en profite pour faire des comparaisons entre la façon de faire la moisson au Guizhou et dans la Bretagne de 1950 par exemple. J'aborde également l'histoire des régions et des villes ainsi que celle des religions pratiquées : le confucianisme, le taoisme et le bouddhisme. De plus, je me pose des questions sur les relations de l'ethnie majoritaire des Hans avec les Tibétains, les Miao et autres minorités ethniques du sud-ouest du pays.
Le récit est accompagné de nombreuses photos illustrant les paysages, les monuments comme les magnifiques costumes des paysannes du Guizhou.
Jean QUENTEL est né en 1942 à Guipavas en Bretagne. Après des études universitaires à Montréal, il est devenu enseignant dans le secondaire durant plus de trente ans. Il a pu profiter de ses deux mois de vacances chaque année et de deux années sabbatiques pour partir à la découverte d'une quarantaine de pays. Ses derniers voyages se sont faits en Ouzbékistan, au Sri Lanka et en 2010 au sud-ouest de la Chine.
COLLINET-GRIBLIN JEAN-FRANCOIS - Léontine
« Considère, mon amour, jusqu’à quel excès tu as manqué de prévoyance. Ah ! Malheureux, tu as été trahi, et tu m’as trahie par des espérances trompeuses ».
Pourquoi fallait-il que ces premières phrases des Lettres portugaises m’accompagnent ma vie durant ? Et comment se fait-il que, dans les passions amoureuses, souvent les amantes font naufrage dans un don d’elles-mêmes inouï de générosité, quand les amants arrivent à se retenir au bord de la falaise et à se rétablir sur la terre ferme ? Et enfin, et surtout, Léontine, une de mes aïeules, grandie à la mesure de mon admiration adolescente, ne devint-elle pas dans mon imagination la religieuse des Lettres portugaises, au point que je lui ai voué une ferveur qui ne pouvait s’achever qu’en roman. Elle, amoureuse d’abord, adorée, puis délaissée, abandonnée, et alors femme bafouée, persécutée par la communauté des vertus inquisitoriales, tombée à terre, fut piétinée par tout un village, se redressa seule et, la haine vaincue et la victoire consommée, finit par entrer dans le si merveilleux esprit d’enfance qui ne croit qu’en aimer, ne voit que l’invisible et n’entend que les voix du silence.