Dans les pages de son manuscrit, Nadège Lindor dépeint le paradoxe douloureux de l’amour et de la violence conjugale, où la passion obscurcit la souffrance et la peur. Elle se retrouve piégée dans une confiance illusoire, aimant celui qui lui inflige le plus de douleur. Son récit est un témoignage poignant de l’emprise émotionnelle de son « tortionnaire ».