Julie Boyer, devenue orpheline à l’âge de 13 ans, a puisé sa résilience dans l’héritage immatériel de sa grand-mère Titine. Son œuvre littéraire, empreinte d’engagement social et de reconnaissance envers les figures féminines méconnues, s’inscrit dans une quête de donner voix aux invisibles. À travers ses écrits, elle rend hommage aux valeurs de douceur et de connexion transgénérationnelle, célébrant la mémoire et l’impact des vies effacées mais fondamentales.