Jean Léon, expert en assurance parisien, part en Occitanie établir les constats des dégâts après le passage de la tempête Noria. Une enquête sans concession de la gendarmerie avec l'adjudant-chef Grégoire DEMAISON a lieu suite à la disparition d'un gardien de l'usine 3M. Le directeur technique de l'usine, fourbe et malhonnête, modifie la scène de la disparition pour ne pas avoir d'ennuis. Une poursuite va s'engager entre l'Occitanie et ce paradis perdu au milieu de l'Atlantique.
L'expert va alors découvrir un monde vertueux doté d'une écologie raisonnée sur une ile inconnue et préservée grâce à un dôme magnétique. Ses habitants sont sociables et soucieux de leur prochain. L'entraide est de mise dans cette communauté qui vit depuis plus de trois cents ans de la terre et de la mer.
Jean Léon fera des allers-retours entre notre monde pollué à outrance - ou le stress, la productivité, l'industrialisation, la rentabilité et une paupérisation systématique entrainent des manifestations telles que celle des Gilets jaunes - et ce petit paradis qu'est l'ile de SPYROS ou le réchauffement climatique de notre monde risque d'engendrer de graves répercussions.
Né en 1963 dans le Vaucluse, Jean-Noel ROBIN a grandi dans le bassin d'Arcachon et vit aujourd'hui à Toulouse. D'abord amateur en dessin de presse satirique, il se met aujourd'hui à l'écriture et publie ce premier ouvrage L'Héritage Holistique. Viendront ensuite, Belbèse Underground et Le Pont du Diable.

Voyagez au cœur du XXe siècle à travers l’histoire d’un homme né sous la présidence de Loubet et le pontificat de Léon XIII.
De sa naissance en 1900, jusqu’à la fin de la guerre en 1945, mon père a tenu à mettre par écrit certains de ses souvenirs de la Noë Blanche, ville bretonne, et des événements qui ont marqué la première moitié du XXe siècle.

Clermont-Ferrand, 1990. Lui, c’est Christophe, bien que le temps vienne de lui sculpter dix-sept ans sur les épaules, il reste encore des choses à polir. Plus guitariste que lycéen, il vit bien au milieu du clan de sa bohème, chacun se reconnaissant dans la paresse de l’autre. Viendra pourtant le moment de quitter les habitudes du bistrot, l’odeur de l’expresso sur les vestes, et d’attraper son Bac en plein vol, puisqu’on atteint la cible toujours à la dernière seconde. D’une main, dire adieu au cercle privé de Godefroy de Bouillon, de l’autre, ouvrir les volets de son été. Là-bas, ce sont les portes de Castelsarrasin qui vont lui ouvrir l’appétit de l’oisiveté, si précieuse dans son assiette, qu’il va même en partager l’abondance avec Fifi l’ami d’enfance. Au fur et à mesure que leurs journées s’étirent et n’en finissent pas, toute la petite musique intérieure va s’en trouver peu à peu, intimement bien désaccordée. Jusqu’à elle, celle qu’on n’attendait pas, blonde comme un blé, de l’azur plein la pupille. Vanessa, c’est d’abord un prénom, et très vite la couleur des sentiments. Le trouble d’une vie face à la moitié de cet homme qu’il n’est pas encore. Et cela, quelles que soient les fièvres dont l’amour se régale, qu’il ait décidé de vous soutenir le regard ou pas, qu’il vous supplie de résister autant que lui céder du terrain. Des questions qui vont dormir debout, se planter dans les yeux, comme des chansons de Jean-Jacques Goldman.