Plongez dans l'univers de nos auteurs
RIGNAUT DIDIER - L'énigme des Deux Jumeaux
Que diriez-vous de découvrir une partie de la France et plus particulièrement le Pays basque ? Participez à la recherche de cet homme disparu subitement sur l'une de ces plages qui bordent le littoral basque. Qu'est-il advenu de cet homme qui occupait un poste important à Biarritz ? Saurez-vous accompagner Patxi SANDURRU ce brigadier qui va tout mettre en oeuvre pour comprendre qui se cache derrière le nom de Jacques BORDEX ? Est-il réellement l'homme que tout le monde respecte pour sa brillante carrière ? Que cachent ses différents changements de société ?
Âgé de 65 ans et ayant pris sa retraite, Didier RIGNAUT essaie de transcrire dans ses romans, une partie de son vécu dans la mesure du possible.
ALESSANDRI CHARLES - Les fantômes d'Abbey Road
« Il faut dire que la veille, “la” nouvelle m'avait crucifié. Je ne sais pas trop ce que Jésus avait ressenti quand on l'avait cloué, pieds et mains, à la croix du Golgotha, mais ça n'avait pu être pire. Lui au moins, avait l'espoir d'une résurrection, d'un nouveau départ dans un monde bien meilleur, tandis que moi, je savais que c'était fini. Fini pour Eux (E majuscule, j'y tiens), fini pour moi. Cette crucifixion était un aller simple pour le Grand Néant, sans appel, personne ensuite pour me libérer du tombeau... Il ne pouvait en être autrement. Oui, les Beatles, c'était fini. »
Plongez dans ce récit original et attachant, rendant un véritable hommage aux Beatles.
Passionné de musique classique et pop, de la chanson française et anglo-saxonne, Charles Alessandri est l'auteur de nombreux poèmes, textes et paroles de chansons. En 2022, ce guitariste amateur publie ce premier roman qui rend un vibrant hommage à l'univers des Beatles et nous fait partager toute la nostalgie que le narrateur éprouve pour ses années d'adolescence et le souvenir de ses idoles.
Bakayah KOUBI - Alpha Condé - La confidence d'une imposture
La Guinée est un magasin aux rideaux baissés. Furtivement, on distingue des silhouettes coloniales qui vident les étagères et efflorent la dignité des pieds. Juste une boutique comme motif d’apaisements, car dehors, cerveaux dégarnis, on regarde de travers. L’ethnocentrisme de par son mécanisme de fonctionnement, est le vrai métier. On est persuadé de ses valeurs parce que chaque élection correspond à la saison des morts inutiles.
Un pays à 400 partis politiques opte pour le réveil de la nullité, la théorie de l’échec, dont l’analyse porte sur la chaleur volcanique de notre instinct animal. Or, nous sommes tous à la recherche des mêmes réponses. On nous amadoue avec les mœurs de l’esclavage et de la colonisation pour poursuivre notre propre univers carcéral : Diplômes français, uniformes militaires français, robes juridiques françaises, armes de guerre françaises, langue et prénoms français : tout est étranger pour contenir le volcan populaire national.
À l’état de vie, l’abominable comédie pour la liste des colonies qui n’échappera guère à la sentence des mots : dictature, troubles électoraux, mascarades, violences policières dans la débrouillardise de la lâcheté intellectuelle, tableau ou ironie.