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LE POEINC JULES - Ni fleurs ni couronnes
Les meilleures vertus naissent et croissent sur nos douleurs
Bénis soient ces malheurs qui nous rendent moins cons
Jules LE POEINC est un poète qui embrasse tous les grands thèmes de la poésie, l’amour et ses tourments, la mort, la guerre, mais il est surtout, un poète de la douleur.
Il aborde également des thèmes plus rares : le hasard, la folie, la non-existence… Il voudrait tout embrasser dans ses énumérations, l’humanité tout entière et même le grand univers.
KOHR LISA - Tu n'iras pas à Isch
S'il est un mot insupportable pour celle ou celui qui traverse cette épreuve, c'est le mot «anorexie ». La définition du dictionnaire Le Petit Robert est, pour la citer : «perte ou diminution de l'appétit ». Ne serait-elle que cela ? Heureusement, celle du mot «appétit » est nettement plus riche, nous renvoyant au mot «instinct », qui lui, nous renvoie au mot «tendance » et se définit par «ce qui porte à être, à agir, à se comporter de telle ou telle façon »...
Tu n'iras pas à Isch est un témoignage sincère de cette perte de «tendance » à ne plus être ce que les autres attendent de nous, quand instinctivement on se sent en danger de ne pas être réel. Comment se placer dans sa propre existence ? Comment se relier à sa propre réalité ? Et enfin : qui être ? Voilà la question véritable qui, une fois posée, peut permettre à chacun de faire confiance à ce merveilleux outil en nous qui oeuvre, puissant : notre inconscient. Il connaît le chemin... L'auteure l'a pris et le poursuit, avec un seul souhait à présent : qu'il soit encore long !
Née à Strasbourg, Lisa Kohr a vécu l'émergence de ce mal-être de la fin du XXe siècle : l'anorexie. Écrivaine engagée dans la vie sociale, devenue conseillère en relation d'aide, elle témoigne ici de ce qu'elle a vécu, de ses épreuves et sa victoire : aujourd'hui, avancer dans le temps est un bonheur qu'elle veut partager.
BERGER ROGER - La Romarinière
Alain, un jeune homme descendu des montagnes, arrive à Manosque pour travailler dans les champs. Dès le premier jour, il tombe sous le charme d’Aurélie, la fille de son patron. Les deux jeunes gens deviennent très vite complices mais le père, très soucieux de l’honneur de sa famille, fait barrage. Aurélie est envoyée chez ses grands-parents pendant que sa propre sœur, Julia, en profite pour prendre sa place auprès d’Alain…
« Le chagrin s’efface avec le temps, mais l’amour jamais. »