La pandémie de COVID-19 a réussi à inoculer la peur chez la plupart d'entre nous. La peur de mourir. La peur de laisser soudainement amis et connaissances sans les avoir préparés et sans s'être préparé soi-même. La peur du grand inconnu. Enfin, cette épouvante généralisée qui se lit dans les yeux de tous, malades et bien portants.
Cette peur rôde autour de moi. Elle n'attend que la première occasion pour m'assaillir. C'est donc pour la défier que j'ai choisi l'arme du récit. J'ai pris l'option de la nommer, d'en parler, de raconter ses effets dévastateurs sur moi et sur mes proches, d'avouer mon vacillement alternatif entre les nuits denses de mes cauchemars et les rayons de lumière venus constamment me donner un sens et une nouvelle orientation.
Confiné entre les quatre murs de mon appartement, j'ai refusé de m'avouer vaincu. J'ai choisi de raconter. Ce journal intime est la voix de mes états d'âme, l'écho de mes dialogues quotidiens avec mon divin Maitre, avec moi-même et avec la famille humaine qui de près ou de loin m'est restée en profonde communion de prière.
L'Abbé Germain Nzinga Makitu est un prêtre originaire de la République Démocratique du Congo, du diocèse de Matadi dans la province du Kongo Central. Il preste son ministère sacerdotal dans le nord de l'Italie comme vicaire paroissial et aumônier des migrants francophones.

«Monsieur, je vous parle, vous n'êtes pas là, plus là, peut-être même n'avez-vous jamais été là... »
C'est par ce triste constat que débute cette lettre, cri d'incompréhension après la perte prématurée d'un être cher.
Ainsi s'amorce le récit d'une longue fuite pour tenter d'échapper à la douleur, d'une autodestruction méthodique dont l'issue aurait pu être fatale.
Mais c'est aussi l'espoir qui se dessine en filigrane car la vie a repris ses droits et qu'une nouvelle page peut commencer à s'écrire.
Ayant été tour à tour animateur, travailleur saisonnier, éducateur spécialisé, chauffeur-livreur et veilleur de nuit, Jean-Baptiste Sellier a, depuis tout jeune, été passionné de lecture et d'écriture. À 41 ans, il publie son premier ouvrage L'être à l'absent.

Le jour de ses dix ans, Louisy découvre qu'elle doit tout quitter : son école, ses copains, la capitale, pour s'installer définitivement en pleine campagne, au domaine familial, que sa maman aimait tant. Mais l'hiver avait fait son oeuvre, tout y était froid, lugubre, méconnaissable. Très vite, de curieux phénomènes vont venir l'intriguer.
La jeune fille va alors découvrir le grand secret que renferme ce magnifique parc aux arbres remarquables. Un secret, jalousement gardé, de génération en génération. La porte des mondes intérieurs va la transporter vers des aventures extraordinaires.
De grands défis l'attendront : trouver son équilibre entre les mondes et transmettre les messages aux enfants de la Terre pour sauver notre merveilleuse planète.
Entourée de sa famille, avec la complicité de sa mamie Zou et de tous ses amis de l'intérieur, notre jeune héroine comprendra que tout le reste de sa vie sera dédié à la réunification des peuples du dedans et de l'Univers. Avec l'aide des autres enfants de tous les continents, qui avaient franchi eux aussi les portes, elle deviendra à son tour, une jeune ambassadrice volontaire, qui avancera dans le monde des adultes, sans peur, mais avec détermination.
La tête dans les étoiles et les pieds bien ancrés dans notre bonne vieille Terre, Domenica CIMINO magnétiseur, travaille à l'éveil des consciences chez les enfants. Toutes les souffrances que la Terre se voit infliger et le doux rêve que le monde des invisibles vienne nous gratouiller les doigts de pied, l'ont tout naturellement conduite à l'écriture d'une première histoire fantastique.