Plongez dans l'univers de nos auteurs
SASSON ELIE - Les sens de l'amour
Philippe, un ingénieur brillant, est marié à Alice, une architecte de talent. Ils ont une fillette de deux ans. Tous trois habitent un appartement bourgeois parisien et mènent une vie harmonieuse et ordonnée. La réception d'un SMS qui ne lui était pas destiné bouleverse le quotidien de Philippe.
Entre le besoin de comprendre, celui de ne pas s'effondrer et de continuer à avancer, Philippe tente de se reconstruire à travers différentes rencontres amoureuses malgré la perte de tous ses repères.
Elie SASSON s'est lancé dans l'écriture en 2010. Après quatre années d'études d'art dramatique, il a écrit, produit et interprété la pièce de théâtre Le meilleur amant que tu aies eu ? sur la scène de deux salles parisiennes.
Il renoue avec l'écriture à travers ce premier roman assurément sensuel, mêlant suspense et émotions, sur fond de prostitution moderne et banalisée.
MATHIAS VICTOR - Le dernier matin
Voici l’histoire d’un personnage singulier, Marco, ou Josué pour les intimes, propulsé dans l’inconnu, au moment où il s’y attendait le moins. Des évènements de mai 1968 jusqu’à sa rencontre avec le Pape Jean-Paul II en passant par ses reportages de guerres, sa vie n’est pas de tout repos.
Suivez les aventures folles et rocambolesques de Josué, qui résistera aux tentations égocentriques et aux assauts du découragement. Une histoire avant tout d’espoir quant aux victoires qu’il a remportées, sur la vie et sur lui-même.
GIBOUREAU CHOISNE EMELINE - Aconitum
La vie peut parfois être très dure avec nous, et ce, dès notre plus tendre enfance. Alors, on ne cherche plus seulement à vivre mais à survivre.
Ce recueil de nouvelles dépeint des sujets graves tels que la dépendance à l’alcool, les violences, les abus sexuels, les troubles du comportement alimentaire, ou encore la dépression.
Vous plongerez dans des histoires auxquelles malheureusement beaucoup peuvent s’identifier.
« L’adolescence est maladive,
Une phase empoisonnée.
Car quand la dépression arrive,
L’espoir, lui, disparaît. »