Plongez dans l'univers de nos auteurs
COTTU CHARLOTTE - Code : Bleu Merveille - Les mystérieuses aventures des sœurs Lacombe
Un soir de 1902, soeur Thérèse Lacombe découvre deux bébés devant la porte du couvent. Les deux nourrissons abandonnés sont deux soeurs. Thérèse leur donne son nom de famille. C'est ainsi qu'elles deviennent Honorine et Victorine Lacombe. En 1920, au couvent de la Bonne Foi, Augustine la mère supérieure, est retrouvée empoisonnée dans son lit, un étrange liquide bleu sortant de sa bouche. Le soir même, les deux soeurs prennent la fuite. Neuf ans plus tard, Honorine et Victorine décident de mener l'enquête sur une terrifiante épidémie qui se propage au Mont-Saint-Michel, un virus qui pousserait les malades au suicide. Cependant, l'idée d'un empoisonnement général est mise sur la table... Dans une société patriarcale, les deux jeunes femmes vont tenter de se faire un nom dans le milieu du journalisme aux côtés d'Ernest Dubois, un célèbre journaliste misogyne, au passé trouble, et d'un jeune photographe maladroit du nom de Léopold Gautier.
Âgée de seulement 20 ans, Charlotte COTTU publie son premier ouvrage. En 2018, elle découvre le « Projet Moteur ! » fondé par Caroline Sénéclauze. L'année suivante, elle est la lauréate du concours Moteur et du haut de ses 17 ans participe à la prestigieuse montée des marches du Festival de Cannes.
CORTIAL FRANCOIS - Le secret de Kervallec
Paul Moreuil, architecte nantais en vue et sa soeur Anne découvrent lors du décès de leur père qu'ils avaient perdu de vue, l'existence d'un demi-frère décédé subitement à l'âge de dix ans, il y a près de trente ans. Que s'est-il réellement passé ce soir d'automne 1932 dans un pavillon bourgeois de Saint-Cloud ? Ils mèneront leur propre enquête et finiront par découvrir l'impensable.
Au travers de ce secret de famille, vous vous verrez transporté à travers cet âge d'or des années soixante ou la société française se trouve en pleine mutation culturelle, sociale, technologique et commerciale. Vous découvrirez à la fois la fin d'une époque avec la disparition des vestiges de l'après-guerre, et les changements majeurs de la vie quotidienne traduits par les principaux évènements qui marqueront à jamais cette période souvent qualifiée de joyeuse. De l'arrivée de la télévision couleur à l'annonce de la séparation des Beatles en avril 1970, en passant par Mai 1968, le concert géant de Woodstock, ou encore les premiers pas de l'homme sur la lune en 1969, vous vivrez bien d'autres événements qui pourront parfois vous étonner.
À la fin de la décennie, tout sera en place pour faire basculer notre monde dans l'ère moderne que nous connaissons aujourd'hui.
Amoureux d'endroits hors du temps et d'un mode de vie en voie de disparition, François Cortial écrit depuis son adolescence et a attendu d'être en retraite pour se lancer et assouvir son besoin d'écriture. Il aime parcourir la France au volant de voitures anciennes et redécouvrir le long des routes nationales, ces lieux oubliés, ultimes témoins d'une époque aux ambiances si particulières.
Son imagination et ses rêveries l'amènent à des récits remplis de rebondissements, faisant emprunter au lecteur des chemins inattendus.
TALISMAN - Les échos de la lune
Las... la nostalgie du monde nouveau, les poèmes sont des draps qui voilent mes nuits et entretiennent mes jours. [...]
Les mots pour les maux, la joute est verbale,
et les balles fusent dans tous les carrefours de la ville.
Ça fume, ça boit pour se sentir vivre.
Les questions demeurent et les réponses attendent
que nous voulions bien ouvrir les yeux.
Là, dans le décor planté, subsistent mes rêves d'humanité [...].
[...] le regard que dit-il, si ce n'est que l'espoir et la foi se sentent souvent si troublés par l'outre-monde, rien ne dure
et pourtant depuis longtemps je t'attends.
La colère est saine et la joie l'est d'autant plus,
la tristesse sans fond et le triomphe sans sommet.
Le voile de nos illusions, et le savoir indélébile.
Une gestation de la grande roue...
[...] l'invisible visible aux yeux du coeur,
mille et une façons de retourner à notre demeure.
[...]
un mètre soixante-dix de rêves,
soixante-cinq kilos de drame,
malade imaginaire de vingt-neuf piges,
car aucun mot ne peut définir un être.