À chaque jour suffit sa peine.
Une longue descente aux enfers, des urgences aux centres de soins et de réadaptation, l’auteur se livre sur ses écarts de conduite et ses addictions. Après tant d’années de lutte contre l’alcool, il a réussi à s’en sortir.

Adrien Baranov, un jeune trentenaire parisien, vient d'acquérir un exemplaire d'occasion du roman de Marguerite Duras, Le Ravissement de Lol V. Stein. Il se trouve fasciné par les annotations qu'une femme a inscrites à l'intérieur. La sensualité de l'écriture l'envoute au même titre que ce qu'elle exprime.
Ce féru de musique et de littérature décide alors de quitter son poste de comptable et la Ville Lumière pour fuir la routine et partir à la recherche de cette femme qui l'intrigue tant.
Comment va-t-il s'y prendre ? Et jusqu'ou ira-t-il ? Ces interrogations nous embarqueront dans le Paris des années soixante jusqu'au Sénégal à la recherche d'une certaine Amélia, épouse de l'ambassadeur Charles d'Ambroisie.
Véritable hommage à Marguerite Duras, cet ouvrage nous invite avec bonheur à lire ou à relire cette oeuvre de la littérature française.
Jean-Pierre Doligé, né au Mans à une époque ou l'on écrivait encore au stylo, vit alternativement en région parisienne, en Provence et en Bretagne. Après une existence de chef d'entreprise ou sa formation scientifique lui a permis de développer des technologies innovantes vendues dans le monde entier, son penchant naturel vers la littérature lui fait maintenant entamer avec ce roman, une seconde vie qui se dessinait chez lui depuis des années.

«Nuit et jour, les illusions se succèdent et se bousculent dans mon esprit  que je sois plongé en plein sommeil ou pas, je me déplace entre deux mondes. À certains moments, je suis en train de planer au-dessus des terres d'Armorique, les bras allongés le long du corps, volant au milieu des nuages et tous mes sens en éveil. L'instant suivant, je me retrouve dans un champ d'ajoncs et de genêts au centre duquel un menhir dresse sa masse de granit vers le ciel, comme pour appeler la foudre ou la lumière. J'éprouve alors une grisante sensation de liberté, elle me libère du monde, m'offrant un fabuleux voyage dans l'espace, le temps, le rêve...
C'est ce voyage, fait d'étranges et surnaturelles visions dans le passé des pierres mégalithiques, que vous content ces fables. »
Le barde de Tréhorenteuc.
Après avoir exercé le métier des armes durant quatre décennies et parcouru le monde au gré des choix politiques de notre République, Paul VALLIN ce colonial, a posé son sabre pour s'armer d'une plume et philosopher, par fables interposées, en contant sa vision de la Vie, de la Nature et de l'Histoire. Son style, direct et incisif, bouscule parfois les certitudes des maitres à penser.