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BACON VINCENT - Une vie sans importance
C'est le récit d'une année. Une année en clair-obscur. Les longs moments d'introspection, les souvenirs qui remontent à la surface, la poésie. Pour faire face aux affres de la vie. Pour lutter coute que coute contre le désespoir. C'est le récit d'une résilience, en trente poèmes.
Vincent Bacon est né en 1982 à Verdun. Il suit tout d'abord des études en psychologie avant de se consacrer plus tard à l'enseignement. Passionné de poésie depuis son plus jeune âge, il affectionne tout particulièrement Paul-Jean Toulet et Sully Prudhomme. Une vie sans importance est son premier roman.
LLORCA MARIANNA-MIREILLE - Le manadier et la femme étrange
C'est l'histoire d'un amour puissant entre un manadier installé en Languedoc et une femme dotée d'un étrange pouvoir : dès qu'elle effleure quelque chose ayant appartenu à une défunte, elle se transforme en celle-ci et reprend le cours de la vie de cette dernière au moment ou il a été interrompu.
Après un coma inexplicable dans une clinique, elle prend la fuite et se retrouve dans un bois en feu. Par miracle, elle échappe à l'incendie et reprend sa course. Elle fait la rencontre d'une vieille gitane qui la prend pour sa fille. La voilà plongée dans une nouvelle personnalité. Avec sa famille gitane qui l'adopte, elle arrive au Portugal...
Ce roman mêlant fiction et amour nous entraine dans un voyage au-delà des frontières...
Ancienne journaliste culturelle, Marianna Mireille LLORCA est née le 25 juin 1944 dans un petit village du Gard à Quissac après-guerre, dans une famille d'ouvriers. Elle est la cadette de six enfants. Elle a toujours eu un don pour l'écriture. À neuf ans, elle remporte le premier prix du Gard au concours de poésies.
Aujourd'hui à la retraite, elle peut enfin se consacrer à sa passion : l'écriture.
F-C-S LUDWIG SEBASTIEN - Le rêve de Kuèhopeh - L’étreinte indigène d’un guerrier autochtone
Il est dit que lorsqu’une forêt pousse, elle ne fait aucun bruit. Il en est de même de nous tous qui, en aimant, anonymes et silencieusement affairés, portons le monde.
Ainsi les actes les plus anodins, ceux les moins valorisés, les plus anonymes et portés en silence devant les défis journaliers, sont là tout ce qui élève le monde. Si les actes de simple bon sens n’avaient pas lieu aux étendues de par le monde, celui-ci serait en proie d’un destin plus funeste qu’on ne lui connaît, l’obscurité actuelle. Sans quoi nous ne serions là à pousser plus avant le prélude des nobles luttes remportées de nos ancêtres, le libre rêve de voir l’homme investir sa condition fraternelle.
Car oui, tous nous portons le monde ! Il est de notre responsabilité de le rendre à la juste mesure de ce que nous sommes capables de fournir. Et nous ne saurions imaginer jusqu’à quel état de gloire l’humanité serait si chacun de nous en venait à l’entraide, la réciprocité, la reliance les premières assises nouvellement bâties sur les ruines décadentes de ce monde désormais ancien. Et quand bien même, lorsque dans le brasier de celui-ci, l’on ne peut s’exprimer convenablement, ce n’est alors que lorsqu’en exil, en recul de celui-ci que nous pouvons nous faire comprendre, d’où on puisse véritablement s’entendre, lorsque reposés sont les esprits.
Si nous sommes en conflit, je t’en prie, allons ensemble en cet exil jusqu’à renouer d’avec la paix ! Afin, qu’à nouveau, l’on puisse se voir comme frères et qu’ensemble, sur l’ancien, les ruines nous donnent de rebâtir ce monde.