Plongez dans l'univers de nos auteurs
MOALIC JEAN-PIERRE - La mort te va si bien
Découvrir une tête humaine fichée, au bout d’une pique, plantée au fond de votre jardin par un soir d’orage, n’est pas monnaie courante, vous en conviendrez. Mais si ladite tête appartient à votre voisine, vous êtes en droit de vous poser des questions.
Et si vous n’êtes pas blanc-bleu, que vous avez quelques péchés à dissimuler aux autorités, alors là, vous avez du mouron à vous faire.
C’est ce qui arrive à Jeanne, là-bas, au fond de la baie de Douarnenez, à la lisière du Cap-Sizun.
Il lui faudra du sang-froid et la maîtrise des outils de jardinage pour arriver à faire face à cette première épreuve car bientôt, ce seront les bras de la défunte qu’elle retrouvera dans un sac-poubelle…
Est-ce que la voisine va lui être livrée en kit, un morceau chaque jour ?
Avouez qu’il y a de quoi flipper.
Tandis que l’on s’acharne ainsi à la persécuter, elle fait la rencontre d’un jeune homme fragile, à la sensibilité exacerbée, porteur, lui aussi, d’un lourd passé familial.
La jonction de ces deux destins aura-t-elle la force suffisante pour aider Jeanne à surmonter cette haine qui semble l’entourer ?
Pierre-de-Versailles - Olivier Le Jeune, l'enfant esclave
Il était une fois, là où les dieux sont aussi nombreux que les collines aux cimes brumeuses visibles à peine à l’horizon… un enfant… apatride et anonyme.
Ainsi débute l’histoire méconnue de celui qui est reconnu dans les archives de la Nouvelle-France comme Olivier Le Jeune, l’enfant esclave, le tout premier de cette lignée. Arraché aux siens à l’âge de six ans par Sir David Kirke, un négrier anglais, il connaîtra trois vies : la vie de slave boy, la vie de petit nègre et la vie d’Olivier Le Jeune, son nom de baptême.
À travers ses vies, il aura tout vu et tout entendu sur les complots et conflits des colons en rivalités féroces pour la conquête des territoires amérindiens de la Vallée du Saint-Laurent.
Olivier Le Jeune meurt en 1654 en laissant ce témoignage de faits historiques notoires.
Riggi MO - Les maîtres du temps
Le 21 juin 1889 après 25 ans de recherche, le Professeur Stanislas célèbre la réussite d'une vie : l'invention de la première machine à voyager dans le temps.
Après s'être imaginé vivre des épopées avec son ami Richard, comme découvrir comment on vivait au temps des romains, de Louis XIV ou à l'âge des cavernes, ou encore de voir à quoi ressemblaient réellement les dinosaures, il réalise que cette machine peut leur permettre de s'enrichir considérablement.
Trouver l'or qui a ruiné Johann Sutter le 24 janvier 1848 en Californie, avant qu'il ne soit découvert par James Marschall, remonter le temps à la recherche de trésors perdus avant qu'ils ne soient irrémédiablement introuvables, remonter le temps dans le but d'acheter des tableaux de grands maitres directement aux artistes et les revendre à leur époque... En voilà des idées pour gagner de l'argent.