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JEAN-JACQUES ALAIN-MEDGY - Le foot au Qatar
Suite au tollé provoqué par l'attribution de la Coupe du monde de football 2022 au Qatar et les diverses allégations de corruptions, ce pays ne cesse de déchainer les passions. Puisant sa richesse dans le pétrole et le gaz naturel, le Qatar va en profiter pour accroitre son niveau de développement jusqu'à influencer certaines décisions politiques dans certains pays de sa région. Suite à l'arrivée de Clayton, un Britannique oeuvrant pour une compagnie pétrolière, le football va enfin prendre naissance au Qatar. Pour mieux asseoir son influence, le Qatar achètera le Paris St Germain, gagnera la Coupe d'Asie des Nations et ira même jusqu'à participer à d'autres compétitions telles que la Copa America et la Gold Cup.
Cet ouvrage vous permettra d'en apprendre un peu plus sur le pays organisateur du mondial 2022.
Né à Port-au-Prince le 5 juillet 1986, Alain Medgy JEAN-JACQUES est médecin de formation et professeur à temps partiel de langues à l'Université. Il est un passionné de lecture et de football depuis sa plus tendre enfance. Influencé par certains journalistes locaux et sa mère, il a su puiser dans les archives pour étudier diverses compétitions relatives à ce sport.
OSTWALT SOPHIE - Ma petite chérie
Six nouvelles reprenant les histoires de jeunes filles ou femmes orphelines.
Malgré leurs soucis et leurs souffrances, elles essaient de construire leurs vies. Vont-elles y parvenir ?
BOUILLON ANNE-NATACHA - La femme balafrée
« Elle est belle votre cicatrice. »
Non, non et NON. Une cicatrice n’est pas belle. Une fleur est belle. Des jambes sont belles. Une perle, une pierre sont belles. Une pensée peut être belle, une attention aussi, un paysage, un coucher de soleil, une simple journée, mais pas une cicatrice. Une cicatrice peut sembler fine, nette, plate, mais pas belle. Ce n’est pas quelque chose qu’on met dans un vase puis qu’on hume, qu’on admire et qu’on regarde s’épanouir. Une cicatrice ça défigure. Sauf que celle-là n’est pas sur le visage. Alors on dit quoi ? Elle dénature ? Elle balafre ? Elle dé-je-ne-sais-quoi ? Ne dites jamais à une femme balafrée que sa crevasse qui rature la peau est belle.
La première empreinte est la preuve de la naissance : le nombril.
Puis au fil des années, des accidents, des maux, les balafres se multiplient sur tout le corps. Ces marques qui souffrent, qui s’incrustent, qui nous éprouvent, qui interrogent. Toutes ces cicatrices pourraient nous transformer en pantin. Mais non, encore NON. Il reste la tête, Alouette, pour écrire, décrire ses souffrances et ses souvenirs.