Plongez dans l'univers de nos auteurs
HOPE HAYDEN - L'Ange de Fer
Félixia croyait s’être débarrassée du pire mais voilà que son oncle Jahama est pris au piège dans un endroit que personne n’arrive à localiser. Pour sa protection, la jeune femme se voit refuser l’autorisation d’aller l’aider. Mais elle ignore que Casimir complote secrètement son départ avec le Maître, pour les protéger elle et sa famille. Tandis que Kieran, jeune entraîneur sombre à la douceur ténébreuse, rachète sa faute près de l’héritière, celle-ci voit son cœur se briser au départ de son unique amour.
Aimée par les deux hommes, Félixia a le cœur divisé, mais ses sentiments unis par une seule idée : retrouver Casimir et son oncle. Coincée entre son rôle d’héritière et celle d’amante, la jeune femme est enchaînée par son destin et oppressé par les imprévus de la mortalité.
Entre mensonges, passions et sacrifices, le Paradis est en plein déséquilibre, en voie au chaos, sans héritière, avec un Maître ravagé par la peur et la colère, pendant que Casimir disparaît et que Jahama est enfermé. Les liens survivront-ils ?
Rubricub - Histoire de rien
Moi c’est Rub’ et j’écris pour toi, p’tit Rub’ vu que ça fait longtemps qu’on se connaît, avec nos joies, nos p’tites misères et nos espoirs partagés. Avec aussi nos coups d’gueule face à l’indigence de certains bavardeux du temps.
Je te partage ce genre d’histoires qui peuvent t’arriver parfois comme ça, quand tu ne t’y attends pas, quand d’un coup, sans prévenir, te voilà embarqué dans un truc de rien, une situation qui ne pourrait pas arriver aux autres, une sorte de scène dans laquelle tu entres sans avoir été invité, sans même avoir entendu les trois coups qui nous mettent en scène.
À toi la régalade, p’tit Rub’.
ALBERTINI MARTA - Appartenance - La femme, la fille et la petite fille de Léon Tolstoï se racontent…
«Aucune de nos enfants n'apporta autant de sens à notre existence, ne nous offrit autant d'aide, d'amour, de diversité. Intelligente, vive, douée, joyeuse et aimante, elle sut toujours créer une atmosphère de bonheur autour d'elle. Elle fut aimée par sa famille, ses amis, les étrangers, tout le monde ».
C'est sur la base de ces quelques lignes de l‘épouse de Tolstoi qui décrivent Tatiana, leur fille ainée, qu'est bâti ce récit qui retrace, à l'aide de lettres et de citations, l'atmosphère de la grande demeure de Iasnaia Poliana. Les rapports y sont souvent animés et parfois tendus, la vie continue malgré maints problèmes, présages d'une époque de privations, de séparations et de fuites vers des horizons plus sereins. Le patriarche meurt en abandonnant ses droits d'auteur au peuple russe. Ses descendants, sans le sou, se dispersent, Tatiana et sa fille campent quelques années dans la chambre d'un cocher à Moscou avant de parvenir à quitter leur pays. L'épopée continue avec la narration des conférences de Tatiana sur son père à travers l'Europe, des échanges inespérés avec des intellectuels français, des débuts de sa fille Tania sur les planches et, pour finir, du hasard qui les conduit vers l'Italie. Un nouveau chapitre qui s'ouvre, inattendu, présage de quiétude. Mais toujours, présente, une profonde nostalgie pour leur terre...
Arrière-petite-fille de Léon Tolstoi et de Giuseppe Giacosa (librettiste des opéras de Puccini), Marta Albertini retrace l'histoire de sa famille russe avant, pendant et après la révolution de 1917 : un acte d'amour envers trois femmes, en particulier sa Baboushka Tatiana dont elle évoque la vie courageuse malgré les nombreux obstacles rencontrés tout au long de son chemin.