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DUPUIS JEAN-CLAUDE - Histoire(s) de...
Jean-Claude DUPUIS vous invite à le suivre dans ses (ces) histoires, histoire de vous divertir, de vous étonner, de vous émouvoir, de vous faire rire, réfléchir, et surtout, de passer un bon moment en sa compagnie.
KOHR LISA - Tu n'iras pas à Isch
S'il est un mot insupportable pour celle ou celui qui traverse cette épreuve, c'est le mot «anorexie ». La définition du dictionnaire Le Petit Robert est, pour la citer : «perte ou diminution de l'appétit ». Ne serait-elle que cela ? Heureusement, celle du mot «appétit » est nettement plus riche, nous renvoyant au mot «instinct », qui lui, nous renvoie au mot «tendance » et se définit par «ce qui porte à être, à agir, à se comporter de telle ou telle façon »...
Tu n'iras pas à Isch est un témoignage sincère de cette perte de «tendance » à ne plus être ce que les autres attendent de nous, quand instinctivement on se sent en danger de ne pas être réel. Comment se placer dans sa propre existence ? Comment se relier à sa propre réalité ? Et enfin : qui être ? Voilà la question véritable qui, une fois posée, peut permettre à chacun de faire confiance à ce merveilleux outil en nous qui oeuvre, puissant : notre inconscient. Il connaît le chemin... L'auteure l'a pris et le poursuit, avec un seul souhait à présent : qu'il soit encore long !
Née à Strasbourg, Lisa Kohr a vécu l'émergence de ce mal-être de la fin du XXe siècle : l'anorexie. Écrivaine engagée dans la vie sociale, devenue conseillère en relation d'aide, elle témoigne ici de ce qu'elle a vécu, de ses épreuves et sa victoire : aujourd'hui, avancer dans le temps est un bonheur qu'elle veut partager.
Australe PLUME - L’envers d’une vie, une vie en vers
Parfois un sourire cache des larmes.
Ce recueil contient les larmes cachées de Plume Australe, ses rêveries, ses pensées, ses espoirs et désespoirs. Ainsi, elle y révèle sa vie de femme, ses rencontres, les violences subies dans sa jeunesse, la maternité, mais aussi le décès de son père.
Accepter d’avoir subi des épreuves demande du temps et du courage, peut-être même plus que les épreuves elles-mêmes. Personne ne devrait sortir de l’enfance par la brutalité.
Au fil des années et des premières amours, les mots apparaissent, s’éloignent des rêveries et même s’ils ne les relatent pas en détail, ils esquissent avec violence les douleurs du passé. La maternité amène de l’apaisement et la légèreté mêlée d’une pointe de sarcasme finit ce parcours d’une vie de poésie.