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LAMIRAND MARIE-ODILE - Les amoureux de septembre
Nous sommes en 1970, Franscesca est une jeune fille ravissante qui vit à Santiago du Chili. Elle fait partie de la classe sociale aisée de ce pays.
Étudiante en philosophie, elle a de nombreux amis. Son compagnon, Robin, vient des Pays-Bas. Franscesca fréquente de nombreux étrangers qui ont voulu s'installer dans ce pays phare d'Amérique Latine.
Avec une vie remplie de rencontres de fêtes et de voyages, ils coulent des jours heureux sous la présidence d'Allende qui est proche du peuple.
Le coup d'État militaire de 1973 va venir bouleverser leurs vies. Ils devront s'adapter, faire face à de graves événements et prendre des décisions pour leur vie.
Finalement, chacun trouvera un chemin inattendu. Alors qu'ils croyaient diriger leur vie, ils vont vite comprendre que c'est leur vie qui les dirige. Ils devront faire preuve de courage et de force pour faire face aux épreuves de la vie.
Marie-Odile Lamirand est née en Seine-Saint-Denis en 1954. Après des études en psychologie à René Descartes et un DEA de communication à Jussieu, elle a travaillé dans le marketing et auprès de jeunes gens comme auxiliaire d'éducation.
Elle a déjà publié de la poésie dans diverses revues et publie aujourd'hui son premier roman.
MIGUET ANNE - Ma mère, ma vive, ma louve
Ma mère en trois cris mère, vive, Louve.
L’histoire de Marie, quatre-vingt-dix bougies. Marie, les trois quarts de sa belle vie à être mère.
Anne, moi, l’aînée, son unique fille puis, trois fils. Mais autre chose aussi. Femme dans le vent de la vie. Vive, grande Vivante.
Louve, plus encore que femme, courant avec les loups. Louve à la fois fidèle et libre.
Marie la retenue, l’endurante, la passionnée, la généreuse en secret.
Peut-on parler d’une telle mère, de la chute, de la mort ? De l’immense ressac de la cérémonie des larmes et des bénédictions ? Qui enterre d’un seul tenant. De cette haute-lice d’AIMER qui fut comme en sourdine l’anagramme de toute la vie de MARIE. Et de la dame des lettres reconnue par ses pairs.
Non sa mort n’a pas clos la mémoire des muses.
Son secret d’être femme et forte, à la charnière de deux siècles, danse à la chaleur.
Entre lecteur averti, entre et sois bienvenu. Il se pourrait qu’ici ton énigme se réchauffe. Écrire est un pari que nous chanterons à plusieurs voix. Car il s’agit de vivre et non de mourir.
ANNECCA SARAH - Mon cœur baisse les bras
À travers ses poèmes, Sarah nous livre ses tourments dus à ses troubles alimentaires et au harcèlement scolaire dont elle a été victime. En passant de l’amour à la tristesse, sans oublier les insomnies et le temps qui passe, elle souhaite montrer qu’il n’est jamais trop tard pour voir les chances qui s’offrent à nous.