Un Général corse à la retraite est profondément meurtri par l’agression dont sont victimes ses petits-enfants sur un quai de métro à Marseille entraînant la mort de son petit-fils.
La libération des agresseurs crée un électrochoc qui va le pousser à rendre justice lui-même. La limite est bien souvent trop floue entre justice et vengeance.

Angelo et Albano se rencontrent en 1956 à l’École Communale de Paris. Pendant de longues années, ils partagent une belle amitié dans l’insouciance de la jeunesse, jusqu’à ce qu’un drame ne les sépare en 1966.
Quelques années plus tard, ils se retrouvent et ne souhaitent qu’une chose : que justice soit faite, quel que soit le prix à payer.
Le destin les confrontera à une situation que personne n’aurait pu imaginer. L’enquête sera longue et difficile. Réussiront-ils à s’en sortir indemnes ?

J’ai lu Le seigneur des anneaux. Je ne suis allée à aucun cours pendant trois jours. Le roman m’a captivée, comme aucun autre, jamais.
Les personnages sont si beaux, si nobles.
Leur inexistence me fait cruellement souffrir. Ici, pas une parcelle de réincarnation.
Ce livre est si triste. Tous ses espoirs sont déçus.
Gandalf est mort, il n’a pas touché assez de cœur.
Frodon n’est jamais parti, il devient peu à peu un spectre.
Et Aragorn Elassar n’est pas venu.
Il n’y a plus que des orcs qui grouillent de partout et qui ne le savent pas. Ils ne se rendent pas compte de ce qu’ils sont.
Les neuf rois des hommes ont été emportés et tous les hommes avec eux. Il ne reste plus que Sauron.
L’Entreprise étend ses ténèbres sur cet âge. Elle nous avale. Nous sommes les ombres qui lui appartiennent. Nous, nous tous, nous ne saurons jamais ce que nous aurions pu être. L’Entreprise, avec notre intelligence, nous a vidés de notre substance. Nous ne sommes que des marionnettes qui n’ont jamais su réfléchir. Nous sommes des pantins incapables de s’unir, incapables de seulement y penser. Elle nous a volés, elle nous a ruinés et rien ne peut l’arrêter.