Découvrez la trajectoire fulgurante et tragique d'un homme ordinaire happé dans la crise la plus destructrice que l'humanité ait connue à ce jour. Occupant une position sociale des plus précaires, il va être précipité dans les bras d'une nouvelle famille à la suite d'un évènement sordide. D'être méprisable, il passera sans transition au statut d'élément primordial de la nouvelle société en voie d'édification. Pour quelqu'un qui ne croyait plus en rien, ni en personne, saisir une telle opportunité ne se négocie même pas. C'est avec gratitude et enthousiasme qu'il entre dans le moule, absorbe tout ce qu'on lui propose, réapprend la lecture de la vie et finit par marcher avec conviction vers l'impossible résolution d'une équation qui le dépasse...
Né le 15 septembre 1959 à Aubagne, Jean-Pierre Platet se passionne très tôt pour la lecture, l'histoire et la musique. En 1978, un grave accident de la circulation vient bouleverser sa vie : traumatisme crânien, coma, et séquelles neurologiques marquent le début d'un parcours chaotique. À l'aube de l'an 2000, habité par un impérieux besoin d'écrire, il entreprend la rédaction de son premier livre, Impossible, mais les aléas de l'existence l'empêchent de mener son entreprise à terme avant 2016. Il s'attelle actuellement à la préparation de deux nouveaux ouvrages.

Oscar Wilde ! Qu'as-tu fait des hommes des villes
Qui ne vivent plus que de plaisirs futiles
Et vénèrent Arts et Beautés tels des dieux accomplis ?
Pourquoi être esclave d'amours éphémères
Quand la vraie paix se cache dans le désert
Comme le murmurent nos coeurs endormis ?
Mais qu'attendons-nous donc ? Partons !
Loin des richesses et des faux trésors
Là ou dans l'ivresse se fonderont en or
Les arbres, les fleuves et les fleurs oubliées !
Abandonnons ces blessures et monstres du passé
Et dans cette Nature que nous avons tant méprisée
Partons trouver la Vérité.

Un dimanche matin de printemps, alors que tout est calme à la maison, une entité maléfique réussit à s’emparer de moi.
Ayant fait appel à ma foi après une lutte acharnée, je finis par être libérée.
Enfin, c’est ce que je pensais. Quelques jours plus tard, seule dans ma chambre, une présence étrangement familière se fait sentir…