À première vue, rien ne réunit la Belgique et le Liban. Mais si nous allons un peu plus loin, nous pouvons constater qu’il existe finalement de nombreuses similitudes.
Dans cet essai, l’auteur, par son expérience, s’attache à analyser la société plurielle de ces deux pays qu’il connaît bien, à faire revivre leur cheminement historique et à se focaliser sur les circonstances qui ont entraîné la survenue de crises entre les groupes sociaux.

Pendant très longtemps l'Homme a subi les caprices de la nature parfois cruelle. Il a souffert mais il a su résister, baisser la tête devant plus grand que lui, reconnaitre qu'il n'était qu'un élément de l'univers. Peu à peu, il a transformé son environnement, malmené la nature et la planète.
Depuis le début du XXe siècle, les évènements se sont accélérés. L'être humain lui-même, pourtant responsable de cette révolution a beaucoup de mal à s'adapter et risque d'être dépassé par ses propres inventions. La machine n'est plus au service de son concepteur, tel Frankenstein et la créature qu'il a fabriquée.
Ce sont surtout les Hommes nés au début du XXe siècle qui ont expérimenté cette course aux découvertes scientifiques et qui ont subi cette métamorphose fondamentale de la société.
Marcel a fait partie de ces pionniers involontaires, qui plus est acteur de plusieurs guerres atroces ou la vie ne comptait pas, seulement survivre dans un monde hostile et barbare.
C'est son histoire qui est racontée ici. L'histoire d'un enfant de la Terre projeté dans un univers de haine qui avance trop vite et change en profondeur.
Guy Lecourt est né le 1er septembre 1947 à Tulle. Après plusieurs années d'études dans un lycée militaire, il s'est orienté vers une carrière médicale. C'est dans le cadre de sa profession qu'il a croisé la route de femmes et d'hommes dans la détresse. Il a commencé à écrire en 2016 en publiant des éditoriaux dans une revue maçonnique. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages dont certains sont en cours de publication: L'envol - Destins croisés, Les enquêtes de L'inspecteur Leroy, Au fil de l'eau, Un chemin maçonnique.

Jelloul Belmakadem, né en 1953, Professeur multidisciplinaire en sciences humaines (économie, sociologie, psychologie et philosophie) a élucidé le sens des souffrances du confinement dues au coronavirus, tout en dégageant une sortie de cette crise dans laquelle se trouve toute l'humanité, afin de vivre en relation harmonieuse avec la nature. Sa méthode de raisonnement philosophique est l'analogie : ce qui est à l'extérieur est comme ce qui est à l'intérieur de l'homme, dans son monde psychique, mais cela concerne les lois, les fonctions. Sa pensée se fonde sur les lois de la nature, la vie. L'éveil de son intuition est le résultat de toute une vie d'études et de réflexion intérieure, de méditation.
Le confinement et ses souffrances sont les conséquences de la façon de vivre des humains, c'est pourquoi trois ans avant l'apparition du coronavirus, dans notre livre Le réchauffement climatique, édité pour la première fois en 2017, à la page 21, nous avons dit : avec le changement et le réchauffement climatiques, les humains vont subir des épreuves et des souffrances qui vont déferler sur la terre pour que leur coeur et leur intellect soient purifiés et éclairés pour qu'ils puissent recevoir correctement la lumière, la sagesse et l'amour de la Source de vie. Ces prévisions et pressentiments sont le résultat de notre méthode de raisonnement philosophique : l'analogie.
La nature en tant qu'être vivant, intelligent et puissant, souffre à sa manière à cause de nos agissements, nos comportements désordonnés et malfaisants. Alors les humains souffrent avec elle, mais par leur propre manière de vivre : de penser, sentir et agir. Les microbes, virus, épreuves et souffrances sont en relation avec l'état de notre monde intérieur, nos pensées et sentiments, selon la loi de l'affinité qui est une loi physique mais psychique aussi. Donc pour sortir de cette crise, les humains ont intérêt à changer leur façon de vivre.