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DORN XAVIER-LOUIS - Des âmes fortes
En représailles à une action violente commise par des membres de la Résistance durant une nuit de décembre 1943 dans une ville du Nord de la France, l’occupant allemand procède à une rafle suivie de la déportation d’hommes et de femmes « jugés indésirables », dont des résistants, des communistes, des francs-maçons, des Juifs, des Tsiganes…
Une dizaine d’entre eux parvient toutefois à s’échapper durant l’immobilisation temporaire du convoi de déportés au beau milieu des Ardennes belges.
Après des heures de marche au milieu des forêts, des collines, des vallons et dans la neige, ce groupe d’évadés trouve refuge dans un hameau isolé.
La cohabitation s’avère délicate avec les habitants, leur présence constituant un terrible danger, puisque l’armée allemande est à leur poursuite.
Sauront-ils dépasser leurs différences pour une cause commune ?
BERNS THIERRY - Unité 731
Pendant la Seconde Guerre mondiale, l'Allemagne était en guerre avec le monde mais un autre combat s'était engagé dans le Pacifique entre l'Empire impérial du Japon et les États-Unis à l'aube du 7 décembre 1941 AD avec l'attaque de Pearl Harbor. En 1943 AD, un aviateur américain, le capitaine John Petch, s'écrasa dans l'océan Pacifique en combattant un appareil japonais, un kamikaze. Il fut emprisonné sur le porte-avions Shinano avec d'autres prisonniers américains. Il fut emmené dans une unité spéciale, l'Unité 731. Qu'est-ce que cette unité a de si spécial ?
Thierry BERNS est né à Saint-Denis (93) en 1972. Grand fan des aventures de Tintin, ce sont toutes ces histoires qui lui ont donné envie d'écrire.
DALSACE ROBERT - Guerre 14-18 - Journal d'un médecin auxiliaire
Cet ouvrage retrace le quotidien d'un combattant français pendant la première guerre mondiale. L'auteur, Robert Dalsace (1897-1996), fut mobilisé en août 1916, alors qu'il n'avait pas encore
19 ans. Étudiant en médecine, il fut donc dirigé vers une formation de médecin auxiliaire. Il assuma cette fonction jusqu'à sa démobilisation en juillet 1919. Le journal qu'il a tenu couvre toute cette période. Pour lui, le vrai combat commença en avril 1918, dans la Somme, lorsqu'il se trouva pour la première fois sous le feu de l'ennemi.
Il nous décrit, dans un style plein de sensibilité, la dureté des combats, les pertes innombrables de vies humaines, ou encore l'attente impatiente de la relève. Il nous fait partager son désarroi face aux ravages persistants de l'ypérite, ce gaz pernicieux utilisé par les Allemands.
Quand le conflit toucha à sa fin, l'auteur découvrit la nature dévastée, les maisons endommagées, les infrastructures détruites par l'ennemi en fuite, et surtout les mines et les dispositifs prêts à exploser sans avertir... Le journal s'achève sur l'occupation en Allemagne, avec une analyse intéressante de l'accueil de l'armée française par les autochtones.
Robert Dalsace fut décoré de la Croix de guerre pour son courage, son dévouement et ses grandes qualités professionnelles.