La maladie du Covid-19 est un affrontement entre deux édifices moléculaires : l'homme et le virus. Les fondements de cet ouvrage reposent sur trois socles majeurs : ce qu'est un virus, l'impact d'une infection virale et les réactions de défense du corps humain.
Si cet affront contre un ennemi invisible qui parasite notre corps est complexe, la bulle sanitaire par confinement fut parmi les premières mesures adoptées. Si la Chine, en tant que source du virus, a rapidement mis au point ce concept au même moment ou elle a mis en place les outils de dépistage, l'objectif ultime de cette lutte restait et reste l'élimination du virus. Depuis les travaux de Pasteur menés sur le virus de la rage, la science a révélé qu'elle n'obéit pas à l'obsolescence. Face à un virus létal, l'homme de 2020-2021 s'est montré inventif en développant des vaccins de deuxième génération. Fondés sur l'usage des molécules de spicules-leurres, ces vaccins de nouvelle génération viennent à point nommé.
Face au variant Omicron qui infecte avec fulgurance, l'immunité des personnes vaccinées a été renforcée en produisant, en dehors des anticorps antispicules, d'autres anticorps antiviraux importants, tels que ceux contre la capside virale.
Quoique l'élimination du Covid-19 soit un sujet planétaire, la mise à disposition de techniques de dépistage rapide du Covid-19 et de vaccins représente les bonnes bases de notre survie.
Michel Ravelonandro est Docteur ès Sciences. Cet ancien directeur de recherches à l'INRAE a été le responsable d'un projet articulé sur le contrôle et la lutte contre un virus de quarantaine. Il a coordonné des projets européens tels que Biotech IV (1996-1999) ou FP7 (2011-2016), et a expertisé des projets européens et américains (USDA). Il a rédigé plusieurs articles publiés dans des revues et journaux internationaux.

À première vue, rien ne réunit la Belgique et le Liban. Mais si nous allons un peu plus loin, nous pouvons constater qu’il existe finalement de nombreuses similitudes.
Dans cet essai, l’auteur, par son expérience, s’attache à analyser la société plurielle de ces deux pays qu’il connaît bien, à faire revivre leur cheminement historique et à se focaliser sur les circonstances qui ont entraîné la survenue de crises entre les groupes sociaux.

« Umpachanka » est naturellement la suite de notre incursion dans « Ce monde-là » dont « Enthaaleusz » s'est imposée d'emblée comme un carrefour incontournable et le point de départ d'une multitude de réactions en chaines.
Monah y a échoué de la plus rocambolesque des manières en percutant de plein fouet la vie peut-être exagérément tranquille d'un Juan Pedro surement trop jeune encore pour s'enliser dans un train-train ne correspondant pas vraiment à sa vraie nature. Tel le papillon moyen, notre Mêlgwen favorite s'est vue métamorphosée en Umpachanka par le truchement d'un chaman de l'autre bout de l'hémisphère qui l'a érigée en réincarnation sacrée sans autre forme de procès. À partir de là, sa trajectoire et celle de son environnement plus ou moins proche vont subir une accélération non négligeable. Pour autant, elle n'est pas non plus le nombril de l'univers et pléthore d'entités incarnées entrent en émulsion, s'agitant en tous sens, se crêpant le chignon à l'envi, ou mettant toute leur bonne volonté à poursuivre des objectifs improbables, laissant ainsi présager que décidément non, ce monde-là n'est peut-être pas si différent de ce monde-ci.
Né le 15 septembre 1959 à Aubagne, Jean-Pierre Platet se passionne très tôt pour la lecture, l'histoire et la musique. En 1978, un grave accident de la circulation vient bouleverser sa vie : traumatisme crânien, coma, et séquelles neurologiques marquent le début d'un parcours chaotique. À l'aube de l'an 2000, habité par un impérieux besoin d'écrire, il entreprend la rédaction de son premier livre Impossible qui sera publié en 2020. Depuis, il ne cesse d'écrire.