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MONTET ADRYEN - Dix-sept ans et onze mois
Davidy, jeune poète et penseur amateur, se confie une dernière fois sur son vécu, sa situation actuelle et sa philosophie de vie.
Malgré les abandons et les idées suicidaires, il réussit à se relever grâce à Antoinette, une vieille dame qui l’accueille chez elle et le traite comme son propre fils.
Progressivement, son être ne vit plus parmi les autres, et Davidy meurt socialement, contre son gré.
La jalousie et le sentiment d’injustice blessent son ego démesuré, ce qui le conduit dans un océan de haine, où ses démons deviennent ses amis les plus fidèles. La déchéance est envoûtante, mais aussi fatale, puisque Davidy en suffoque et s'y noie petit à petit.
Son enfer intérieur l’assassine et le dévore. Dans la nuit du 26 décembre, l’adolescent s’enfonce et sombre dans les profondeurs de ses plaies béantes…
BERNS THIERRY - Unité 731
Pendant la Seconde Guerre mondiale, l'Allemagne était en guerre avec le monde mais un autre combat s'était engagé dans le Pacifique entre l'Empire impérial du Japon et les États-Unis à l'aube du 7 décembre 1941 AD avec l'attaque de Pearl Harbor. En 1943 AD, un aviateur américain, le capitaine John Petch, s'écrasa dans l'océan Pacifique en combattant un appareil japonais, un kamikaze. Il fut emprisonné sur le porte-avions Shinano avec d'autres prisonniers américains. Il fut emmené dans une unité spéciale, l'Unité 731. Qu'est-ce que cette unité a de si spécial ?
Thierry BERNS est né à Saint-Denis (93) en 1972. Grand fan des aventures de Tintin, ce sont toutes ces histoires qui lui ont donné envie d'écrire.
CORTIAL FRANCOIS - Hôtel de la Gare
Après le tourbillon de la fin des années soixante, alors que l'on s'apprête à vivre une nouvelle décennie, Paul Moreuil, de plus en plus lassé par son métier d'architecte, ne trouve plus sa place dans cette société de consommation de masse totalement contraire à ses valeurs, et dans laquelle il est de bon ton de paraitre et de posséder.
Il décide un beau soir de faire une pause et monter dans le premier train, sans destination précise. Il s'arrête à Fontenay, petite ville discrète et attachante, perdue au coeur de la France heureuse des années soixante-dix, dont personne ou presque ne connait l'existence.
Durant ces longs mois d'absence, il met en application la devise de sa défunte Tante Marguerite : se contenter du strict nécessaire et délaisser autant l'inutile que le superflu.
Il fermera cette parenthèse et en ressortira totalement transformé, connaissant la véritable valeur des choses, avec dans ses bagages, douze portraits de personnages, réels ou imaginaires, à qui il attribuera des vies parfois singulières, parfois tragiques mais toujours pleines d'humanité. Il en naitra un premier roman, écrit chaque soir dans sa petite chambre sous les toits.
Après la publication de trois romans, François Cortial revient aujourd'hui avec un nouvel ouvrage au travers duquel il continue de faire voyager le lecteur dans une époque passée.