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DIOGO DE ASCENCAO AMELIE - Partir pour une vie meilleure
Comme beaucoup de Lusitaniens, mon père Fernando voulait fuir la pauvreté de la campagne dans laquelle nous vivions et ne supportait plus le régime autoritaire d'Antonio de Oliveira Salazar.
Laissant derrière lui sa famille et sa ferme, il se décida à partir clandestinement pour la France, avec deux amis, début février 1965. Ils avaient deux frontières à franchir mais surtout, devaient traverser une bonne partie du territoire espagnol qui se trouvait encore sous la coupe de Franco.
Malgré les risques, Fernando fit tout pour réussir sa quête et ainsi nous offrir une vie meilleure.
Ce récit retrace notre vie, dans le contexte historique de l'époque, au Portugal, puis en France. Il relate l'exploit, le courage d'un père, mais aussi d'une mère qui, laissée seule, devrait travailler à la ferme, s'occuper de ses cinq filles, attendre et espérer qu'un beau jour, la famille serait à nouveau réunie.
Amélie DIOGO DE ASCENÇAO voit le jour dans un petit village du centre du Portugal. Dans ce premier écrit, elle retrace son histoire familiale, et plus particulièrement l'exploit de Fernando, son papa.
JOUSSE CLAUDIUS-FELIX - La quête du cimetière béni
L'humanité est en danger. ZEUS ordonne alors à DEMETER, la déesse des saisons, de faire en sorte que la Terre devienne inhabitable. Pour éviter que sa fille PERSEPHONE ne réside toute l'année dans les Enfers, elle s'exécute, à contre-coeur.
Mais une fausse rumeur arrive jusqu'aux humains : DEMETER, une immortelle, n'est plus. Sa dépouille reposerait dans son temple à NAXOS. Les rares survivants, dans un élan de dévotion se regroupent et partent en quête de son temple afin de lui rendre un dernier hommage et y laisser leur vie à leur tour.
Mais est-ce vraiment la fin ?
Retraité depuis peu et après la publication d'un recueil de pensées en 2021, Mes soliloques, Claudius Félix JOUSSE vous propose une pièce de théâtre à la façon des anciens grecs.
DELAGRÉE MARCEL - La Noë-Blanche, bourg nouveau du XIXe siècle
En 1800, la France n’a pas de routes. C’est Napoléon Bonaparte qui va commencer la création d’un réseau routier en 1811. Mais de l’autre côté de la Manche, en Angleterre, commencent à se développer les chemins de fer. Mais en France, ils n’apparaîtront qu’au Second Empire. Ce développement entraîne alors le désenclavement de nombreuses zones rurales ainsi que le déplacement de la population vers les villes.
C’est ainsi que la commune de la Noë-Blanche naît en 1852. Mais ce n’est pas la seule à naître au XIXe siècle en Ille-et-Vilaine. Elles sont au nombre de vingt-deux.
À travers ce texte historique et documenté, l’auteur revient sur l’histoire de cette commune et son évolution.