« Je m’appelle Fille qui est la première née. À ma naissance, on raconte que la terre a tremblé et que le ciel s’est embrasé de mille feux. Quand la tribu amérindienne des Cris m’a trouvée, ma mère venait de mourir et le tonnerre rugissait de partout, illuminant le ciel d’éclairs aussi dorés que le soleil. »
Fille qui est la première née fait des rêves étranges. Et dans ces rêves, toujours le même visage qu’elle n’arrive pas à distinguer clairement. Elle décide alors de partir à sa recherche.

C'est une rencontre entre deux êtres que tout sépare.
Rapprochements et rejets tissent peu à peu un lien, puis une dépendance tenace, parfois difficile à dénouer.
Apparemment, cette histoire ne daterait pas d'hier. Des réminiscences lui en révèlent le sens et la logique thérapeutique sous-jacente.
Une histoire belle, sincère et surtout inattendue.
Marie-Hélène d'YDEWALLE est poète, collagiste, musicienne et écrit son journal depuis toujours.
Elle a déjà édité des poèmes, des haikus ou encore des réflexions. Très proche de la nature, elle se réfugie régulièrement dans sa Flandre natale, mêlant ses racines à celles de ses amis les arbres.

Il y a huit ans, alors que Gaspard et sa maîtresse Patricia étaient partis enquêter sur la disparition d’un client dans les Caraïbes, ils se retrouvèrent chez le diable en personne. Après s’être échappés, ils préfèrent oublier cette histoire et se convaincre que tout était issu de leur imagination. À leur retour, chacun reprit sa vie. Gaspard retrouva sa femme et Manu accepta de reprendre Patricia bien qu’elle revînt enceinte d’un jeune skipper qu’ils avaient rencontré là-bas, Mike. Il éleva le petit Chris comme son propre fils.
Aujourd’hui, Mike fait son retour et veut connaître son fils qui fête ses sept ans. Mais l’enfant au visage d’ange est très spécial… Que cache-t-il ? Qui est-il vraiment ?