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THÉARD DOMINIQUE - Le microsillon
Alors qu’elle vide la maison de ses parents, Line retrouve un microsillon. À la retraite, les finances n’étant pas au beau fixe, elle décide de poster une annonce pour le vendre. C’est Laurent, cadre à la retraite et collectionneur qui vient le lui acheter. Lors de sa visite, il tombe sur une photo. Surpris, il reconnaît son ancienne secrétaire de direction… Pur hasard ou destin ?
Les deux retraités, socialement opposés, se lient d’amitié. Grâce à Laurent, Line va sortir de la routine et ira de surprise en surprise.
Mais va-t-elle réussir à s’ouvrir au monde inconnu que lui présente son nouvel ami ?
DRUMEZ RACHEL - Un bouquet de haïbuns pour mon angélique
Je vous invite à parcourir ce mélange de prose et de haïkus, rassemblant les sentiments que l’on croise dans l’amour comme des pétales qui finissent par composer un bouquet que je vous offre. Comme un voyage qui laisse un bon souvenir, ce recueil vous poussera – je l’espère – à la rêverie.
F-C-S LUDWIG SEBASTIEN - Le rêve de Kuèhopeh - L’étreinte indigène d’un guerrier autochtone
Il est dit que lorsqu’une forêt pousse, elle ne fait aucun bruit. Il en est de même de nous tous qui, en aimant, anonymes et silencieusement affairés, portons le monde.
Ainsi les actes les plus anodins, ceux les moins valorisés, les plus anonymes et portés en silence devant les défis journaliers, sont là tout ce qui élève le monde. Si les actes de simple bon sens n’avaient pas lieu aux étendues de par le monde, celui-ci serait en proie d’un destin plus funeste qu’on ne lui connaît, l’obscurité actuelle. Sans quoi nous ne serions là à pousser plus avant le prélude des nobles luttes remportées de nos ancêtres, le libre rêve de voir l’homme investir sa condition fraternelle.
Car oui, tous nous portons le monde ! Il est de notre responsabilité de le rendre à la juste mesure de ce que nous sommes capables de fournir. Et nous ne saurions imaginer jusqu’à quel état de gloire l’humanité serait si chacun de nous en venait à l’entraide, la réciprocité, la reliance les premières assises nouvellement bâties sur les ruines décadentes de ce monde désormais ancien. Et quand bien même, lorsque dans le brasier de celui-ci, l’on ne peut s’exprimer convenablement, ce n’est alors que lorsqu’en exil, en recul de celui-ci que nous pouvons nous faire comprendre, d’où on puisse véritablement s’entendre, lorsque reposés sont les esprits.
Si nous sommes en conflit, je t’en prie, allons ensemble en cet exil jusqu’à renouer d’avec la paix ! Afin, qu’à nouveau, l’on puisse se voir comme frères et qu’ensemble, sur l’ancien, les ruines nous donnent de rebâtir ce monde.