Plongez dans l'univers de nos auteurs
SIMARD JEAN-MARC - La logique créatrice de l'amour divin - Tome 2
Deux grands paradigmes président les explications et la compréhension de l’existence de l’univers et de l’apparition de la vie : le matérialisme et le spiritualisme.
Les sciences biophysiques et astronomiques actuelles utilisent surtout l’approche matérialiste pour expliquer et comprendre l’existence de tout. Pour elle, la conscience ne serait qu’un produit dérivé de la matière, sous l’influence du hasard et de la nécessité. L’approche spiritualiste, quant à elle, stipule plutôt que c’est la matière qui est le produit de la conscience. Pour elle, la matière vivante ne serait qu’une manifestation différente de la vie spirituelle dont la dynamique évolutive serait régie par l’Amour-énergie.
Trop influencée par l’approche matérialiste, la science actuelle est incapable d’apporter des réponses satisfaisantes au sens de la vie.
D’inspiration spiritualiste, l’auteur propose, avec cet essai de synthèse philosophique, théologique et scientifique qui réinterprète les diverses données scientifiques sur la création de l’univers à partir du Big-Bang, une lecture différente des événements. Pour lui, le Big Bang ne serait pas le résultat d’une explosion comme le pensent les astrophysiciens mais de l’éclosion d’une graine cosmique, appelée « singularité initiale » ou atome primitif, réalisée par un Dieu en mal d’Amour.
DESANCE LOU - La loi universelle des singes
Dans ces nouvelles, les endroits, les époques et les noms importent peu c’est vous, c’est moi, puisque nous sommes les singes. La loi des singes est une même chanson qui se répète, sempiternelle, et dont la vie de tout un chacun marque un tempo régulier, à la fois spécifique dans sa mélodie et commun à tous dans sa cadence.
Ces histoires un peu décalées tentent de mettre le doigt sur les théorèmes qui dénotent, les histoires qui détonnent, parfois tragiquement, souvent avec poésie, toujours dans le mystère le plus complet.
SÉBERT REGIS - Homo Sapiens Politicus - Vers un autre modèle de société
La jeune génération sait qu'en ce début du troisième millénaire, la situation de l'humanité est plus que critique et sa survie menacée (désastre écologique, risque de guerre, accroissement des inégalités). Mais elle semble désorientée quant à la voie qui permettrait à Homo Sapiens de s'en sortir. Oui, la préoccupation écologique est cruciale, oui les discriminations sont inacceptables, mais la résolution « par le haut » n'adviendra jamais si les questions de l'exploitation économique, de la domination institutionnelle et de l'assujettissement idéologique ne sont pas reprises à bras-le-corps et articulées dans une conception d'ensemble.
C'est ce qu'acte le présent discours dit polistique (alliant science et politique), esquissant le prochain modèle de société souhaitable : le communalisme mondial en réseau.
« Alors, il ne s'agira plus de travailler pour perdre sa vie à la gagner. Il s'agira de s'impliquer dans les activités de production pour s'émanciper subjectivement. Et il se trouve que cela n'est pas incompatible avec une création importante de plus-value, à condition d'en changer la forme dans les échanges, et de modifier le profil institutionnel des organisations ».