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CIMINO DOMENICA - Lou et la porte des mondes - Tome 2 : Les forces obscures
Un peu plus de trois ans se sont écoulés.
Gardienne des lieux et des secrets du domaine familial, Lou sera bientôt confrontée aux terribles évènements qui menacent la Terre. Ses amis et elle devront s’unir plus que jamais pour la sauvegarde de l’humanité. Notre jeune aventurière est bien loin d’imaginer que sa vie sera une nouvelle fois bouleversée…
Dans cette nouvelle aventure palpitante, Lou finira par découvrir l’ultime vérité.
ESPINET CLAUDE et IONESCO MONICA - Jusqu'au bout de mes rêves
Le jeune Paul Lacaze s'imaginait explorateur ou pilote d'avion, tant son envie de découvrir le monde, le tenaillait.
Mais c'est dans la police, ou il est entré un peu par hasard, quelques années plus tôt, que le Destin va lui offrir cette vie d'aventurier dont il a toujours rêvé.
Il a tout juste 27 ans et son quotidien va pour longtemps, être fait d'exotisme et de découvertes souvent insolites.
Les images défilent... On le suit en pirogue, au volant d'une jeep ou aux commandes d'un petit avion, à travers l'Afrique, la Réunion, le Cambodge, Haiti...
Autant de paysages et de senteurs, d'enrichissantes leçons de vie, de surprenantes histoires de police, parfois proches de la barbouzerie, de dantesques parties de chasse dans la savane, et surtout de belles rencontres humaines.
Son histoire, ou se mêlent émotions, mystères, amitiés, amour... nous envoute et nous invite à toujours croire en nos rêves.
Policier-globetrotteur pendant plus de vingt ans, en Afrique puis en Asie et dans les Caraibes pour l'ONU, Claude Espinet, alias Paul Lacaze dans le livre, a eu un parcours hors normes. Homme de challenge, après avoir parcouru le monde, il décide à 57 ans, d'intégrer une Société parisienne, comme directeur-export. Il y restera 25 ans. Il est aujourd'hui, artiste peintre.
Monika Ionesco est journaliste.
CLAUX GABRIEL - La communale
Le langage évolue, les mots changent. Ce qui était appelé « La communale » autrefois, est aujourd’hui appelé « groupe scolaire ». Il n’y a qu’à tourner le regard pour se rendre compte que les bâtiments ont eux aussi changé. Au fronton de la mairie, l’inscription – MAIRIE – ÉCOLE des GARÇONS – paraît aujourd’hui hors du temps. L’école des filles a elle aussi disparu. Pourtant, sa construction donna des sueurs froides au conseil municipal de l’époque. Aujourd’hui, filles et garçons partagent les mêmes classes, la même cour de récréation. Ce ne fut pas toujours le cas.
L’auteur s’est alors posé la question de savoir si l’enseignement et les matières enseignées avaient avec le temps, évolué comme les édifices. La réponse est là au fil des pages.
De la révolution à nos jours, qui sont ces hommes et ces femmes à qui plusieurs générations de parents ont confié non pas l’éducation mais l’instruction de leurs enfants ?