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NDOUNA YANNICK - Pour un Congo prospère
« Relever le Congo et le bâtir afin d’atteindre la prospérité. » Voici l’objectif de cet essai.
En analysant l’environnement économique et en se focalisant sur les minerais qui constituent la grande richesse du Congo, l’auteur donne des éléments de réflexion pour répondre aux maux dont souffre le pays depuis plus de soixante ans, à savoir la pauvreté apparente de la population.
DEVALIÈRE ISOLDE - Les audacieuses
À 32 ans, Inès relaie sur les ondes radiophoniques la voix des exclus, des misérables et des précaires de l’amour, abonnés des sites de rencontres.
À l’occasion d’une fête de famille, elle se laisse convaincre de faire un test ADN. Le secret qu’elle découvre alors va bouleverser sa routine, altérer ses relations de famille et la conduire à rechercher ses origines cachées.
Des archives militaires de Caen au haras de Meknès, des couloirs de l’EHPAD jusqu’aux montagnes du Haut-Atlas, son insatiable quête de vérité l’amènera à explorer une part mystérieuse de la vie de sa grand-mère, femme de militaire français pendant les années du protectorat au Maroc. Grâce à la complicité de ses cousins, elle exhumera une histoire d’amour fascinante et hors du commun, étouffée par l’amnésie familiale, les faux-semblants et les conventions sociales d’une autre époque.
De manière inattendue, Inès renouera avec la puissance du sentiment amoureux et apprendra que l’amour et le crime peuvent être étroitement liés.
VALLAR CHRISTOPHE - Nous avions dix-sept ans
Clermont-Ferrand, 1990. Lui, c’est Christophe, bien que le temps vienne de lui sculpter dix-sept ans sur les épaules, il reste encore des choses à polir. Plus guitariste que lycéen, il vit bien au milieu du clan de sa bohème, chacun se reconnaissant dans la paresse de l’autre. Viendra pourtant le moment de quitter les habitudes du bistrot, l’odeur de l’expresso sur les vestes, et d’attraper son Bac en plein vol, puisqu’on atteint la cible toujours à la dernière seconde. D’une main, dire adieu au cercle privé de Godefroy de Bouillon, de l’autre, ouvrir les volets de son été. Là-bas, ce sont les portes de Castelsarrasin qui vont lui ouvrir l’appétit de l’oisiveté, si précieuse dans son assiette, qu’il va même en partager l’abondance avec Fifi l’ami d’enfance. Au fur et à mesure que leurs journées s’étirent et n’en finissent pas, toute la petite musique intérieure va s’en trouver peu à peu, intimement bien désaccordée. Jusqu’à elle, celle qu’on n’attendait pas, blonde comme un blé, de l’azur plein la pupille. Vanessa, c’est d’abord un prénom, et très vite la couleur des sentiments. Le trouble d’une vie face à la moitié de cet homme qu’il n’est pas encore. Et cela, quelles que soient les fièvres dont l’amour se régale, qu’il ait décidé de vous soutenir le regard ou pas, qu’il vous supplie de résister autant que lui céder du terrain. Des questions qui vont dormir debout, se planter dans les yeux, comme des chansons de Jean-Jacques Goldman.