Plongez dans l'univers de nos auteurs
SONG YOHANNA - Et si on discutait du changement ?
De nos jours, de plus en plus de femmes perdent confiance en elles à cause de la pression qu’exerce la société sur elles pour être « la femme parfaite ». Mais la femme parfaite n’existe pas mesdames. Toutes les femmes ont des défauts. Et n’oubliez pas, vous êtes uniques. Ne prêtez pas attention aux autres, gardez vos rêves en tête et faites tout pour les réaliser.
Avec cet ouvrage ponctué de conseils et de citations, je souhaite vous livrer un message d’espoir vous rappelant que peu importe où nous sommes dans notre voyage, nous pouvons toujours avancer vers la découverte de soi.
GARVEL LUDIVIN - Belles histoires poétiques
La gourmandise est mon péché mignon. Elle influence ma vie et mes pensées, alors je vis l’existence comme un grand bonus. Elle est faite de douceurs et de plaisirs, qui font de notre vécu un souvenir savoureux et divin. Ainsi, je construis avec mon esprit des souvenirs artificiels, qui ont pour ambition d’enivrer nos cœurs fragiles. Je veux devenir un nuage de lait, dans ce monde bien trop brutal, car la tendresse est la plus belle chose que la nature nous ait offerte.
CLAUX GABRIEL - La communale
Le langage évolue, les mots changent. Ce qui était appelé « La communale » autrefois, est aujourd’hui appelé « groupe scolaire ». Il n’y a qu’à tourner le regard pour se rendre compte que les bâtiments ont eux aussi changé. Au fronton de la mairie, l’inscription – MAIRIE – ÉCOLE des GARÇONS – paraît aujourd’hui hors du temps. L’école des filles a elle aussi disparu. Pourtant, sa construction donna des sueurs froides au conseil municipal de l’époque. Aujourd’hui, filles et garçons partagent les mêmes classes, la même cour de récréation. Ce ne fut pas toujours le cas.
L’auteur s’est alors posé la question de savoir si l’enseignement et les matières enseignées avaient avec le temps, évolué comme les édifices. La réponse est là au fil des pages.
De la révolution à nos jours, qui sont ces hommes et ces femmes à qui plusieurs générations de parents ont confié non pas l’éducation mais l’instruction de leurs enfants ?