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DECOURTY WILLY - Il était une fois, la guerre
Mai 1940. L'Allemagne nazie envahit la Belgique. Pour les membres de la famille Gaubert, à la tête d'une importante imprimerie à Bruxelles, c'est le début d'une aventure qui va progressivement détériorer leurs rapports. Claire, la fille ainée, ambitieuse et déterminée, cédera aux sirènes de la Collaboration pour sauver l'entreprise familiale dont elle a pris la direction. Max, le benjamin, fougueux et patriote, empruntera, aux côtés de son fidèle cousin Fred, le chemin adverse en se mettant au service de la Résistance. La cadette, Georgette, douce et conciliante, multipliera les efforts sans relâche afin de préserver l'unité de la famille. Valentin, autre cousin, épousera le destin de Léon Degrelle en rejoignant le mouvement rexiste. Chacun suivra sa route parsemée de dangers, d'embuches, de vengeance et aussi d'amour.
Palpitant, riche en rebondissements et anecdotes, imprégné d'humour, de suspense et d'émotion, le récit couvre les années de guerre, de l'envahissement de la Belgique jusqu'à la capitulation allemande, et restitue l'atmosphère de l'Occupation, nourrie par les peurs et les privations d'une population condamnée à la débrouillardise et au marché noir.
Né à Dour en Belgique en 1945, Willy Decourty a débuté sa carrière comme journaliste au quotidien Le Peuple. Il s'engage par la suite en politique et devient député bruxellois et bourgmestre d'Ixelles, commune qu'il dirigera durant quinze années. Aujourd'hui retraité, il se consacre à la lecture, l'écriture et la peinture qui représente pour lui un tout nouveau défi. Il a déjà publié deux ouvrages, Bruxelles, le 13 mai 68, en 2008 et Le flic évanoui, dix ans plus tard.
LEBAS DAMIEN - Petit traité de la transmission – Apprendre aux autres, des autres et de soi-même
Parents, enseignants, managers, consultants ou coachs.
Accompagner un enfant, un élève, un étudiant, un collaborateur, ou un proche tout simplement, c'est lui transmettre un peu de ce que nous sommes, c'est lui donner un peu de ce que nous avons reçu.
Transmettre n'est pas dire ou enseigner, transmettre est bien plus que cela. Avant d'être un processus intellectuel, la transmission est un processus affectif et émotionnel ou les maitres mots sont implication, empathie et bienveillance.
• Implication : Benjamin Franklin nous le rappelle si bien je te dis tu oublies, je t'enseigne tu te souviens, je t'implique tu apprends.
• Empathie : transmettre c'est vouloir servir, certainement pas maitriser, c'est aller chercher la personne là ou elle est, et telle qu'elle est.
• Bienveillance : porter un regard positif inconditionnel, c'est souhaiter le meilleur à ceux que l'on accompagne afin qu'ils puissent donner le meilleur d'eux-mêmes.
Organisé autour de 5 thématiques, l'ambition de cet ouvrage est de partir de la réalité du lecteur, lui offrir la possibilité de se poser nombre de questions, et enfin l'inviter et l'accompagner à trouver par lui-même les réponses.
1 - Développer la confiance au service de la performance
2 - Cultiver son arme secrète, avec envie, avec passion
3 - Influencer le comportement d'un individu
4 - Apprendre de ceux à qui l'on a transmis
5 - S'engager pour produire la meilleure version de soi-même
Damien LEBAS enseigne le management à l'ESSEC, l'ENA et AMOS. Par ailleurs, il accompagne des entreprises du secteur public ou privé dans le cadre de missions de conduite du changement avec une vision résolument humaniste et positive.
DESVINS MICHEL - STOP !
L'improbable rencontre avec cette oeuvre majeure, PO - La Transfiguration idéale, s'est transformée au fil des ans en une sublime révélation. Ce livre révèle le difficile parcours d'authentification de cette découverte. In fine, ces vingt-cinq années de recherches prouvent que Paul Gauguin était un véritable précurseur de l'abstraction en peinture. Cet immémorial représente sa vision ésotérique Enata qu'il a découverte aux Marquises. Le testament spirituel de l'artiste est enfin retrouvé.
La conceptualisation de ce Golgotha polynésien primordialiste, à l'instar des calvaires bretons, dévoile son apostasie. Finalement, cette crucifixion laisse place à l'envol de son âme à partir d'un arbre à pain. Soit, une danse de la mort paienne et chamanique. Les derniers écrits du peintre, cachés depuis des décennies, ne pouvaient pas être compris en dehors de cette oeuvre. Gauguin est mort athée et en totale harmonie avec ce sacré primordial. Cette expérience a eu le pouvoir de modifier le paradigme des croyances de l'auteur et l'ouverture d'esprit de tous ceux qui ont eu la chance et le plaisir d'approcher ce talisman.
Dans cet ouvrage autobiographique, l'auteur dévoile comment, après de longues investigations, il a réussi à déjouer les machinations des Wildenstein. Le prochain récit, «Ultime vision de Paul Gauguin à Hiva OA», saura vous apporter toutes les précisions sur qui était véritablement Paul Gauguin aux Marquises. Il corrigera les erreurs et les mensonges rabâchés à l'ennui depuis cent dix-sept ans sur ce sujet.