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ROSSINI MC-KNIGHT LIONEL-PIERRE - Une adoption pour rien - L'histoire d'un suisse pas ordinaire
Lionel-Pierre est né en Corée du Sud en 1968, d'une mère Coréenne et d'un père soldat Afro-Américain. À l'époque, la Corée du Sud était sous l'emprise de lois sociales racistes et exclusives, forçant des centaines de milliers d'enfants à l'adoption internationale. Il arrive ainsi en Suisse à l'âge de six ans avec sa petite soeur de 18 mois. Ils sont adoptés et placé dans une famille. Mais leur mère adoptive leur fait vivre un enfer. Les deux jeunes enfants sont maltraités.
Avec beaucoup de résilience et de détermination, l'auteur se fixera un grand nombre d'objectifs dans sa vie qu'il réussira à atteindre. Titulaire d'un master en Sciences Politiques en 1993, il devient officier de l'armée suisse deux ans plus tard puis trader en matières premières dans une compagnie de trading de sucre à Genève. Son métier le mènera à vivre plus de dix ans en Afrique.
En 1990, sa mère biologique le retrouve. Elle n'avait jamais cessé de les rechercher lui et sa soeur. Elle avait quitté la Corée deux ans après leur adoption et était maintenant citoyenne américaine. Après ces retrouvailles, une nouvelle vie commence pour Lionel-Pierre, avec toute la bienveillance et l'amour de sa maman qui ne le quittera plus.
Vous découvrirez l'histoire d'un Suisse peu ordinaire qui a toujours refusé les injustices, et a tenté de relever les défis que la vie lui donnait.
MARTEAU GILBERTE - Vacances loufoques au château
Fin juin, un groupe d'amis décide de partir quelques jours dans le château familial des Saint-Simon, perdu en Charente. Au programme : une succession d'aventures rocambolesques et de folles rencontres avec des personnages improbables.
Gilberte MARTEAU est âgée de 66 ans et vit en Charente-Maritime. Elle présente ici son premier roman à l'humour décalé.
VALLAR CHRISTOPHE - Nous avions dix-sept ans
Clermont-Ferrand, 1990. Lui, c’est Christophe, bien que le temps vienne de lui sculpter dix-sept ans sur les épaules, il reste encore des choses à polir. Plus guitariste que lycéen, il vit bien au milieu du clan de sa bohème, chacun se reconnaissant dans la paresse de l’autre. Viendra pourtant le moment de quitter les habitudes du bistrot, l’odeur de l’expresso sur les vestes, et d’attraper son Bac en plein vol, puisqu’on atteint la cible toujours à la dernière seconde. D’une main, dire adieu au cercle privé de Godefroy de Bouillon, de l’autre, ouvrir les volets de son été. Là-bas, ce sont les portes de Castelsarrasin qui vont lui ouvrir l’appétit de l’oisiveté, si précieuse dans son assiette, qu’il va même en partager l’abondance avec Fifi l’ami d’enfance. Au fur et à mesure que leurs journées s’étirent et n’en finissent pas, toute la petite musique intérieure va s’en trouver peu à peu, intimement bien désaccordée. Jusqu’à elle, celle qu’on n’attendait pas, blonde comme un blé, de l’azur plein la pupille. Vanessa, c’est d’abord un prénom, et très vite la couleur des sentiments. Le trouble d’une vie face à la moitié de cet homme qu’il n’est pas encore. Et cela, quelles que soient les fièvres dont l’amour se régale, qu’il ait décidé de vous soutenir le regard ou pas, qu’il vous supplie de résister autant que lui céder du terrain. Des questions qui vont dormir debout, se planter dans les yeux, comme des chansons de Jean-Jacques Goldman.