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LALANNE CAREN - Le troisième homme
Lors de la troisième croisade, cinq figures emblématiques de l’Histoire s’affrontent autour de Jérusalem. Si certains s’apprécient, d’autres se haïssent, exacerbant ainsi les rivalités et brouillant les lignes entre alliés et ennemis.
On sait de Richard Cœur de Lion, le fils préféré d’Aliénor d’Aquitaine, qu’il a reçu de sa mère son sens de l’aventure et qu’il a hérité du caractère impétueux de son père. En revanche, les historiens s’interrogent encore sur la nature de la relation entre Richard Cœur de Lion et Philippe Auguste. Le moins anglais des rois d’Angleterre est un chevalier d’exception et le vainqueur incontestable de cette croisade. Le bilan du roi de France est plus mitigé, à moins que…
Le mystère reste entier à propos de l’identité du troisième homme, une tactique de jeu utilisée ici comme une tactique de guerre.
RIVAULT JOY - Rêveries antiques
La poésie est une danse avec les mots, un voyage au pays de notre langue et de notre imaginaire. Leur musique ouvre le champ des possibles et étourdit le lecteur de rêveries voluptueuses. Mais au fond, n'y a-t-il rien de plus antique que l'ivresse poétique ? Rêveries antiques n'est rien d'autre qu'une divagation éphémère inspirée de ce monde familier, à la fois historique et mythique. C'est un rêve qui s'éternise, bercé par les chants d'Homère, la lyre d'Orphée et la douce voix de Sappho. C'est une déambulation dans l'intimité des vestiges antiques, une rencontre avec les fantômes d'un passé idéalisé, un cri d'amour à l'Antiquité. Qu'il puisse enthousiasmer le lecteur comme la Muse son auteure.
Née en 1987, Joy Rivault est certifiée de Lettres Classiques et docteure en Histoire, Civilisations et Archéologie des Mondes Antiques. Dans son premier recueil poétique, Rêveries antiques, l'auteure propose un voyage onirique au coeur de l'Antiquité gréco-romaine.
CLAUX GABRIEL - La communale
Le langage évolue, les mots changent. Ce qui était appelé « La communale » autrefois, est aujourd’hui appelé « groupe scolaire ». Il n’y a qu’à tourner le regard pour se rendre compte que les bâtiments ont eux aussi changé. Au fronton de la mairie, l’inscription – MAIRIE – ÉCOLE des GARÇONS – paraît aujourd’hui hors du temps. L’école des filles a elle aussi disparu. Pourtant, sa construction donna des sueurs froides au conseil municipal de l’époque. Aujourd’hui, filles et garçons partagent les mêmes classes, la même cour de récréation. Ce ne fut pas toujours le cas.
L’auteur s’est alors posé la question de savoir si l’enseignement et les matières enseignées avaient avec le temps, évolué comme les édifices. La réponse est là au fil des pages.
De la révolution à nos jours, qui sont ces hommes et ces femmes à qui plusieurs générations de parents ont confié non pas l’éducation mais l’instruction de leurs enfants ?