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DONATELLI NATHALIE - Les cicatrices
Quelle joie ! Son premier enfant, le grand changement, la vraie notion de famille, Papa, Toi et Moi. L'arrivée tant attendue de son bébé.
Et puis, Crouzon. L'annonce d'une maladie inconnue et le cataclysme qu'elle a déclenché.
Apprendre à vivre avec, à en accepter les conditions et respecter les règles de son jeu. Apprendre à l'ignorer aussi et choisir de vivre quand même, comme si elle faisait simplement partie de la famille, ne pas lui donner plus d'importance que nécessaire, mais ne pas l'oublier malgré tout.
Nathalie Donatelli est née en 1978 à Strasbourg. Cette maman de trois enfants présente ce premier ouvrage dans lequel elle partage l'histoire de son fils ainé atteint d'une maladie génétique rare.
BILLIAU SYLVAIN - Ressentir
Voudriez-vous d’une vie sans émotions ?
Malgré ce qu’il en coûte, par celles qui parfois nous terrassent, que dire de celles qui plus souvent nous égayent et embaument nos sens ?
Pourquoi vouloir s’en protéger, se limiter ?
Des plus discrètes aux plus intenses, toutes ont leur place, car elles témoignent de ce qui nous touche, nous anime, nous conduit.
Aujourd’hui, je n’ai plus peur. J’ai choisi de vivre. De les vivre. Pleinement. De goûter leurs arômes, quels qu’ils soient. En prenant garde, cependant, à leur intensité.
En mots légers, en mots dansants, en mélodie,
Je vous invite à ressentir.
PERRON GISELE - 74 jours pour...
La mort m’a renversée le 10 mars 2015. Cette nuit-là, mon fils unique de 26 ans est décédé brusquement.
Que faire du temps qui persiste après le drame ? Tout ce temps qui était jadis destiné à le rendre heureux, lui qui était si vulnérable, emprisonné dans son lourd handicap. Que pouvais-je faire maintenant que je n’avais plus à veiller sur lui ?
J’ai longtemps piétiné sur le chemin du désespoir, jusqu’au jour où j’ai décidé de prendre la route avec mon mari. Le deuil m’avait écrasée, mais le voyage a nourri ce temps vidé de son sens.
74 jours pour avaler des kilomètres en voiture ou à pied dans les États du Sud-Ouest américain. 74 jours pour apprivoiser la souffrance.
C’est à coups de paysages magnifiques, de clins d’œil de mon Olivier, et paradoxalement, d’échanges tumultueux avec ma mère qui subissait son propre drame à des kilomètres de moi, que mon fardeau s’est allégé et mon bagage de souvenirs réconfortants s’est enrichi.
Je vous invite à découvrir ma véritable odyssée vers l’espoir d’un mieux-être.