Depuis l’âge de treize ans, Rose décrit avec ses mots son adolescence atypique marquée par une maladie auto-immune et des troubles psychiatriques. Elle raconte l’hôpital (pédo)psychiatrique, la maladie, la déscolarisation et la lutte pour reprendre des études, la souffrance physique et morale, la violence envers elle-même, son rapport à la mort et ses angoisses paralysantes.
Elle témoigne de son long chemin vers l’acceptation d’elle-même et de ses maladies grâce à la créativité, à l’énergie vitale et au soutien de ceux qui l’entourent.

La maladie du Covid-19 est un affrontement entre deux édifices moléculaires : l'homme et le virus. Les fondements de cet ouvrage reposent sur trois socles majeurs : ce qu'est un virus, l'impact d'une infection virale et les réactions de défense du corps humain.
Si cet affront contre un ennemi invisible qui parasite notre corps est complexe, la bulle sanitaire par confinement fut parmi les premières mesures adoptées. Si la Chine, en tant que source du virus, a rapidement mis au point ce concept au même moment ou elle a mis en place les outils de dépistage, l'objectif ultime de cette lutte restait et reste l'élimination du virus. Depuis les travaux de Pasteur menés sur le virus de la rage, la science a révélé qu'elle n'obéit pas à l'obsolescence. Face à un virus létal, l'homme de 2020-2021 s'est montré inventif en développant des vaccins de deuxième génération. Fondés sur l'usage des molécules de spicules-leurres, ces vaccins de nouvelle génération viennent à point nommé.
Face au variant Omicron qui infecte avec fulgurance, l'immunité des personnes vaccinées a été renforcée en produisant, en dehors des anticorps antispicules, d'autres anticorps antiviraux importants, tels que ceux contre la capside virale.
Quoique l'élimination du Covid-19 soit un sujet planétaire, la mise à disposition de techniques de dépistage rapide du Covid-19 et de vaccins représente les bonnes bases de notre survie.
Michel Ravelonandro est Docteur ès Sciences. Cet ancien directeur de recherches à l'INRAE a été le responsable d'un projet articulé sur le contrôle et la lutte contre un virus de quarantaine. Il a coordonné des projets européens tels que Biotech IV (1996-1999) ou FP7 (2011-2016), et a expertisé des projets européens et américains (USDA). Il a rédigé plusieurs articles publiés dans des revues et journaux internationaux.

« Alice se décida à reparler du naufrage :
- On ne peut reprocher à qui que ce soit de fuir la misère et la mort. Le monde est fait de migrations. Depuis la nuit des temps, l'homme s'est déplacé. À plus forte raison pour se nourrir. Et aujourd'hui aussi pour fuir les bombes. J'aimerais tant que soient abolies les frontières. Nous sommes tous sur la même planète, non ? ... Quand avons-nous perdu la sagesse ? Si tant est que nous l'ayons connue. C'est un fait de société, cette migration d'êtres humains, évidemment. Mais moi, ça me met en colère... »
Des enfants nés aux quatre coins du monde, le jour du solstice d'hiver, sont-ils connectés ?
Faire se côtoyer le réel et l'improbable, c'est bien ce que l'on peut s'autoriser lorsqu'on raconte une histoire, non ?
Marc Barry est né le 8 octobre 1956, à Toulon, au sein d'une famille de neuf enfants. Il s'exerce à plusieurs métiers, notamment dans le paysagisme et le commerce. Il est trois fois père et quatre fois grand-père. Sur le tard, il se tourne vers les disciplines dites de « bien-être », intègre une troupe de théâtre et conte des légendes provençales. En 2021, il écrit son premier roman, La quête d'Axel.