Avec le temps, il apparait que la culture hip-hop a transformé les mentalités de plusieurs générations. On réalise aujourd'hui pleinement l'importance de sa place dans la société.
Mode, publicité et musique ont profondément et durablement changé à son contact. Au-delà de son rôle culturel, elle a été un formidable ascenseur social et un puissant rempart contre l'intolérance, le communautarisme, le prosélytisme et l'intégrisme  en France et dans le monde. L'auteur a suivi, dès les premiers mouvements, cette culture de l'intérieur. Acteur au tout début, observateur et conseiller par la suite, il y a suffisamment cru pour en rendre compte aujourd'hui. Résultat de quarante ans de vie commune.
Comment et ou l'histoire a-t-elle commencé ? Comment et pourquoi a-t-elle évolué selon un schéma bien précis ? Qu'en reste-t-il ? Pourquoi ? Christophe Augros tente de répondre à travers le prisme de son histoire.
Né en 1968 à Paris, Christophe Augros grandit avec la musique et notamment la culture hip-hop. Depuis, il a été consultant pour artistes, consultant marketing pour plusieurs maisons de disques (Sony, Warner, EMI, directeur artistique), journaliste en radio (Media Tropical, RFI, radio 7), presse écrite (Tout Soul, Open Mag, Funk U, Planète Rap), internet (giantstep.net, fnac.com, musiculture.fr). Il a déjà participé à la conception d'un livre consacré à l'origine du graffiti hip-hop. C'était au Royaume-Uni en 2017.

Barcelone, 1936. La ville est totalement tenue par les organisations anarchosyndicalistes. Là, cohabitent les structures républicaines et celles de la Generalitat, manœuvrant pour une plus grande autonomie.
Les militants de la Confédération Nationale du Travail, CNT, et de la Fédération Anarchiste Ibérique, FAI, commencent à s’armer dans les casernes, les arsenaux et les chantiers navals. Leur détermination fait basculer de leur côté, la Guardia Civil et la Garde d’assaut, obligeant les militaires à capituler. Quand le gouvernement décide de donner des armes à la population, celle-ci est de fait déjà armée.
Dès les premiers jours, une colonne de miliciens anarchistes, provenant des formations confédérales de la CNT et de la FAI, s’organise pour combattre, sous la bannière républicaine, les militaires nationalistes. Le 24 juillet 1936, un convoi composé de plusieurs véhicules hétéroclites chargés de miliciens, se concentre sur la place de Cataluña. Elle est composée de plus de 2 500 personnes, et se dirige d’abord vers l’Aragon dans l’intention de reprendre Saragosse aux nationalistes.
C’est dans le cadre de ce théâtre fratricide que se démène José, un syndicaliste adhérant à la CNT et militant à la FAI.

Adam et Ève étaient seuls sur terre, mais sous une face cachée de la lune. Dans leur havre de paix, Adam et Ève ont donné naissance au Petit théâtre de la vie.
Une formidable fourmilière humaine, sous les feux de la rampe, sous la houlette de Monsieur le Directeur de la Production, ou les hommes sont confrontés à de multiples émotions, telles que l'amour, la haine ou encore la douleur.
Un texte saupoudré d'un zeste de magie, de sourires, et de rires, dans un passé qui tutoie le présent et se marie au futur.
L'auteure, originaire de Lausanne travaille en psycho-gériatrie dans un établissement médico-social.