Plongez dans l'univers de nos auteurs
SHE YI TZU - La trilogie des komplots
Visant à dépoussiérer des idées souvent bien ancrées dans l’inconscient collectif, cet ouvrage aborde tous les défis auxquels notre civilisation occidentale est confrontée : la fragilité de la démocratie, la pandémie, la protection de la vie privée, les croyances, le climat, l’énergie, les technologies mais aussi l’économie, la dette, l’inflation et la politique en général.
SILAS ELIUD - Église de Jésus-Christ, je crois en toi
Sœur Marie Lataste est une sœur dominicaine qui naquit le 21 février 1822 à Mimbaste dans les Landes et mourut le 10 mai 1847, à l’âge de 25 ans. Son existence fut marquée par une union de plus en plus marquée avec le Christ, au point où elle reçut plusieurs révélations d’ordre privé de Notre Seigneur Jésus-Christ. Malgré les multiples grâces mystiques et spirituelles dont le Christ la combla, elle demeura chaste tout au long de sa vie. Sœur Marie Lataste est aussi un exemple éminent d’humilité, puisque tout au long de sa vie, elle voulut vivre sans les honneurs. Elle pria le Seigneur de la préserver même de toute renommée posthume.
Les écrits de Sœur Marie Lataste sont un condensé du catéchisme de l’Église Catholique, notamment en ce qui concerne la croyance en la Sainte Trinité, la Conception Virginale et l’Immaculée Conception de Marie, l’Incarnation de Jésus-Christ dans la chair, le rôle assigné aux anges gardiens, les vertus et grâces sanctifiantes et théologales, les sacrements de l’Église, la résurrection des morts, et la vie éternelle. Si le Christ a bien voulu nous faire connaître ses révélations par l’intermédiaire de Sœur Marie Lataste, c’est bien pour que nous puissions tenir bon dans les moments d’épreuve.
Australe PLUME - L’envers d’une vie, une vie en vers
Parfois un sourire cache des larmes.
Ce recueil contient les larmes cachées de Plume Australe, ses rêveries, ses pensées, ses espoirs et désespoirs. Ainsi, elle y révèle sa vie de femme, ses rencontres, les violences subies dans sa jeunesse, la maternité, mais aussi le décès de son père.
Accepter d’avoir subi des épreuves demande du temps et du courage, peut-être même plus que les épreuves elles-mêmes. Personne ne devrait sortir de l’enfance par la brutalité.
Au fil des années et des premières amours, les mots apparaissent, s’éloignent des rêveries et même s’ils ne les relatent pas en détail, ils esquissent avec violence les douleurs du passé. La maternité amène de l’apaisement et la légèreté mêlée d’une pointe de sarcasme finit ce parcours d’une vie de poésie.