Rûmi, né en 1207 en Afghanistan, est connu en Europe et aux États-Unis comme un grand poète, philosophe mystique et grand soufi, initiateur des derviches tourneurs. Mais en lisant maintes et maintes fois ses œuvres, on peut s’apercevoir qu’imbu des leçons des grands d’autrefois, tels que Platon, Aristote, Bouddha et bien d’autres, il s’est forgé des pensées scientifiques et sociales profondes. Pensées qui ont été vérifiées par les grands qui l’ont suivi comme Newton, Voltaire, Montesquieu, Nietzsche, Einstein, Kant, Machiavel ou encore Freud.

Bannie de la cité d’argent pour sa rébellion, Sohalia rejoint le peuple des démons. Mais lorsque son chef Éros démissionne, l’ange déchu se voit devenir le bras droit du diable en personne, Lucifer Morningstar.
Dans un univers où l’amour est prohibé et la violence à son comble, Lia va devoir trouver sa place et apprendre à vivre aux côtés du diable.

Imaginez une avenue qui attire les regards, une avenue dans laquelle la plupart des gens déambulent avec confort et assurance. Puis imaginez celle, sombre mais intrigante, que seules les âmes en quête d’introspection daignent emprunter.
Sombre idéal est une promenade poétique emplie d’obscurité et de mélancolie. Les ombres qui arpentent ce recueil sont désireuses de liberté et dépeignent sans retenue leurs idées, leurs pensées, leurs espoirs  la vie d’une part et la mort de l’autre, l’espoir et la résiliation, l’amour ou la haine de soi, le mal du siècle ou le confort d’une habitude sociétale  des questionnements multiples tournant comme une mélodie que l’on siffle et qui recouvre le silence de cette rue sombre.