Le métier de typographe est né avec Gutenberg. Il créa les caractères mobiles en alliage de plomb réutilisables, la presse à imprimer (inspirée d'un pressoir à raisin) assurant le contact entre les caractères en plomb et le support de papier, le moule à fondre les caractères ainsi que l'encre noire à base d'huile de lin, visqueuse, séchant rapidement.
Ces inventions ont révolutionné durablement le rapport de l'Homme à l'écrit, car elles ont permis la reproduction des caractères et une diffusion étendue des écrits. Dès lors, l'imprimerie concurrença la copie manuelle des codex, cahiers formés de pages manuscrites reliées ensemble en forme de livres. Les procédés résultant des inventions de Gutenberg sont restés pratiquement inchangés jusque vers la deuxième moitié du XXe siècle lorsque de nouvelles techniques apparurent, entrainant la disparition progressive du métier de typographe.
En effet, la démocratisation d'internet a marqué un tournant dans le métier. Les typographes ont du acquérir de nouvelles compétences, se spécialiser, en particulier dans l'utilisation des outils informatiques, ou dans le graphisme.
Retour sur un métier disparu.

Qu’est-ce qu’un diacre ? À quoi sert-il ?
L’appel au diaconat n’est en rien un privilège ou une récompense mais une responsabilité au sein de l’Église. Le diacre est un baptisé qui, par l’imposition des mains de son évêque, est ordonné non pas en vue du sacerdoce, mais du SERVICE. Il ne s’agit pas d’un sacrement de l’Ordre au rabais. Le diacre, ministre de l’Église à part entière, assure une fonction particulière pour vivre le sacrement de l’Ordre.
Cet ouvrage saura répondre à toutes les questions que vous pouvez vous poser sur cette fonction.

Réchauffement climatique, menaces sur les démocraties et la liberté, procrastination face à ces enjeux quasi existentiels, promesses électorales invraisemblables, complaisance paresseuse des médias de l'émotion, cécité collective face à l'ampleur des défis, individualisme et narcissisme... autant de défis et de signes de l'impuissance démocratique face à l'urgence.
Dans la première partie de l'ouvrage, Yoland STREHL livre une analyse sans concession de la genèse de cette impuissance. Il en décrit les multiples effets délétères en passant en revue la situation économique, la politique énergétique, la fiscalité, l'éducation, la justice, la question des retraites, la PMA pour toutes ou encore la gestion de la crise Covid.
Dans la seconde partie, partant de ce constat, il propose un projet global pour rendre l'avenir de nos enfants le plus favorable possible. Il relie dans une vision d'ensemble, nourrie de nombreuses propositions, la politique internationale, le projet européen, le redressement économique de la France, la restauration d'une envie de démocratie. À la suite d'un développement pédagogique original sur l'économie et le défi du développement durable, il avance des solutions pour conjuguer efficacité économique et solidarité et couronner de succès nos efforts indispensables. Il invite les Français, croyants et agnostiques, à être « associés » en étant fidèles aux valeurs de la République et à notre constitution d'une parfaite modernité. Il nous exhorte : avançons ensemble, ayons la lucidité et le courage pour rendre possible ce qui est nécessaire.
Âgé de 70 ans, Yoland STREHL est aujourd'hui à la retraite. Durant sa carrière chez EDF, il a occupé différentes fonctions en ressources humaines, gestion et finances. Ce diplômé de l'École polytechnique détient une formation d'économiste et s'intéresse aux questions économiques et sociales depuis son adolescence. Consterné par l'incapacité de la France à se réformer et retrouver son dynamisme, il tente de percer dans cet essai, le plafond de verre politico-médiatique du prêt-à-penser simpliste et manichéen.