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SOULIER FRANCOIS - Trop jeune pour être une ombre
J’ai lu Le seigneur des anneaux. Je ne suis allée à aucun cours pendant trois jours. Le roman m’a captivée, comme aucun autre, jamais.
Les personnages sont si beaux, si nobles.
Leur inexistence me fait cruellement souffrir. Ici, pas une parcelle de réincarnation.
Ce livre est si triste. Tous ses espoirs sont déçus.
Gandalf est mort, il n’a pas touché assez de cœur.
Frodon n’est jamais parti, il devient peu à peu un spectre.
Et Aragorn Elassar n’est pas venu.
Il n’y a plus que des orcs qui grouillent de partout et qui ne le savent pas. Ils ne se rendent pas compte de ce qu’ils sont.
Les neuf rois des hommes ont été emportés et tous les hommes avec eux. Il ne reste plus que Sauron.
L’Entreprise étend ses ténèbres sur cet âge. Elle nous avale. Nous sommes les ombres qui lui appartiennent. Nous, nous tous, nous ne saurons jamais ce que nous aurions pu être. L’Entreprise, avec notre intelligence, nous a vidés de notre substance. Nous ne sommes que des marionnettes qui n’ont jamais su réfléchir. Nous sommes des pantins incapables de s’unir, incapables de seulement y penser. Elle nous a volés, elle nous a ruinés et rien ne peut l’arrêter.
CAVANNA LAURA - Les étoiles filantes - Deux garçons, un été
Eden n'a que dix-sept ans et pourtant, il n'est persuadé que d'une chose: il n'atteindra jamais ses dix-huit. Son corps meurtri en est témoin, sa santé mentale ne fait que de se détériorer.
L'arrivée de Lucas dans sa vie, va pourtant le faire changer d'avis. Ensemble, ils vont tenter de laisser derrière eux les souffrances du passé et transformer leurs émotions négatives en joie de vivre. Mais comment sauver deux jeunes âmes qui ne savent briller que dans l'obscurité? Car on dit que l'espoir fait vivre, mais comment procéder lorsque l'on s'épanouit dans son opposé ?
Laura CAVANNA est née en 2002 en région parisienne. Elle livre aujourd'hui un message d'espoir, de tolérance et d'amour, dans le but de libérer la parole et lever les tabous sur les maladies mentales et les handicapes invisibles.
BLANVILLAIN GERARD - L'impensable immensité de l'infini et le Big Bang
Il faut regarder par la fenêtre pour la voir
Si la vue n’est pas obstruée on voit l’immensité de l’espace…
De jour comme de nuit.
Cette immensité, est-ce l’infini ?
Si c’est l’infini, où commence-t-il ?
Si c’est l’Univers, comment est-il apparu dans cette immensité ?
Pour le savoir, un seul moyen…
… Plonger dans l’immensité du vide.
Dans cet ouvrage, l’auteur au terme d’une plongée dans un domaine encore inconnu, décrit ce qu’il a vu :
L’espace infiniment grand qui est une somme infinie d’infiniment petits, et comment l’Univers y est né il y a près de quatorze milliards d’années dans un vide qui n’est qu’une impensable apparence.
Ce vide qui nous est transparent et qui semble ne rien contenir est très loin de ce que l’on imagine.