Plongez au cœur des essais nucléaires français avec ce témoignage captivant qui vous transporte dans l’opération « Pacifique » de 1968.
Découvrez les coulisses des cinq tirs aériens de bombes atomiques réalisés sur les atolls de Mururoa et Fangataufa, et suivez l’expérience unique de l’auteur, volontaire pour assister aux explosions de trois bombes de type A et deux de type H.
Ce récit vous emmène également dans une aventure unique en son genre, partageant les escales, les rencontres inattendues et les beautés des paysages, tout en n’omettant pas les aspects sombres liés à cette période controversée.

La Dame du pont nous fait vivre les débuts du commissaire Berthelot. Au fil des pages, il nous emmène dans son histoire d'amour, un amour passionnel, une histoire fondatrice pour sa vie, avec une femme singulière que l'on appelle, la Comtesse. Dans sa cahute située aux abords d'un pont immense qui enjambe l'estuaire d'un puissant fleuve soumis aux marées, elle reçoit les marins du monde entier pour soigner leurs âmes. Et probablement leurs corps.
Berthelot fait également la rencontre de celui qui le suivra ensuite dans toutes ses aventures, Poulbot.
Au bord du récit, le Fleuve, la Mer, le Pont... nous parlent. Le tout est baigné par le doux et malicieux ressac des clapotis.
Jean-Marc Quillet navigue entre arts de la scène (théâtre, danse, musique) et écriture. Artiste, il exerce également la profession de pédagogue autour de ces expressions artistiques.
Il aime aussi le vin et la cuisine, comme écritures et lectures du monde. Surtout parce qu'il est très gourmand.

« Ne fréquente pas celui qui confond la Justice avec l'Imposture, la Vérité avec le Mensonge et le Savoir avec l'Ignorance. »
Ben Cheikh
Voilà ce qui nous aurait épargné beaucoup de travers !
Ici sont rassemblés quelques écrits, fruits de récits et de souvenirs, arrachés à la mémoire et nourris par des réflexions et des rencontres. Un croisement de destins et des regards, libres et libérés des clichés, suivant d'abord une « Étoile filante » éclairant les pistes caravanières et les centres du savoir nomade, avant de nous abandonner, égarés, dans nos interrogations et nos méditations.
Les réflexions que je partage sont alimentées de cris du coeur de l'observateur que je suis, refusant la résignation. La frontière entre le jugement engagé et la réaction objective est souvent ténue pour trouver le propos adéquat. Dans ces conditions, sacrifier l'histoire officielle - doux euphémisme -, voire la contredire, s'impose. À la place, la version des « vaincus » sera déclinée, rappelant qu'ils n'avaient pas tout à fait tort.