Plongez dans l'univers de nos auteurs
UGON PIERRE-YVES - Comment en finir avec le patriarcat rampant
Selon le rapport 2023 sur l’état du sexisme en France du Haut Conseil à l’Égalité entre les femmes et les hommes, le sexisme perdure et ses manifestations les plus violentes s’aggravent. Malgré la libération de la parole des femmes, les coupables courent toujours et même de plus en plus. Pourquoi ? Quelles en sont les causes ?
Cet ouvrage tentera de vous apporter quelques réponses.
CHERDO MAHE - accepte ta part d'ombre
Parcourez cette quarantaine de poèmes dépeignant une toile tantôt sombre tantôt lumineuse, empreinte de solitude, d’incompréhension mais aussi d’espoir. Laissez-vous porter par ce voyage crépusculaire dans l’esprit de l’auteur, oscillant entre la nuit et le jour.
De l’amour à la haine, de la joie à la tristesse, des certitudes aux doutes, ce rêve éveillé, parfois cauchemar, s’exprime au travers d’une plume originale cherchant à s’émanciper des codes classiques de la poésie en faisant appel à des genres plus contemporains, tels que le slam, le rap et le hip-hop.
Se révélant parfois difficilement accessible, en termes de style d’écriture, de rythme ou de termes utilisés, l’histoire contée ici est une invitation à la réflexion, à l’imaginaire, à la remise en question de ses acquis via des spectres de compréhension et grilles de lecture transverses et entremêlées.
COLLINET-GRIBLIN JEAN-FRANCOIS - Léontine
« Considère, mon amour, jusqu’à quel excès tu as manqué de prévoyance. Ah ! Malheureux, tu as été trahi, et tu m’as trahie par des espérances trompeuses ».
Pourquoi fallait-il que ces premières phrases des Lettres portugaises m’accompagnent ma vie durant ? Et comment se fait-il que, dans les passions amoureuses, souvent les amantes font naufrage dans un don d’elles-mêmes inouï de générosité, quand les amants arrivent à se retenir au bord de la falaise et à se rétablir sur la terre ferme ? Et enfin, et surtout, Léontine, une de mes aïeules, grandie à la mesure de mon admiration adolescente, ne devint-elle pas dans mon imagination la religieuse des Lettres portugaises, au point que je lui ai voué une ferveur qui ne pouvait s’achever qu’en roman. Elle, amoureuse d’abord, adorée, puis délaissée, abandonnée, et alors femme bafouée, persécutée par la communauté des vertus inquisitoriales, tombée à terre, fut piétinée par tout un village, se redressa seule et, la haine vaincue et la victoire consommée, finit par entrer dans le si merveilleux esprit d’enfance qui ne croit qu’en aimer, ne voit que l’invisible et n’entend que les voix du silence.