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BONAVENT STEPHANIE - Une journée à la campagne
Tout commence par une préparation minutieuse de la journée. Les parents s'affairent, les enfants suivent tant bien que mal le rythme imposé. Le grand départ s'annonce pour une journée bien occupée.
Au fil du périple, les situations cocasses se succèdent et c'est avec un plaisir non dissimulé que l'on prend part à l'impossible épopée d'une famille presque ordinaire. On s'affaire avec Perrichon, souffre avec Ulysse, espère avec Pantagruel.
On découvre avec délice la campagne catalane, les charmants villages, les routes sinueuses, et un saint lieu millénaire. On goute les spécialités du coin. On découvre les vraies gens. On se prend aussi à aimer cette langue catalane égrenée dans le récit.
Une journée particulière d'une chronique familiale pleine de drôlerie, de tendresse et de vie...
Artiste dans l'âme et terre à terre à la fois, l'auteure a obtenu un diplôme en arts plastiques et un autre en droit. Voilà presque un quart de siècle qu'elle s'est installée dans la Belle Province, ou elle a fondé sa petite famille. Elle y a trouvé sa place dans le domaine de la restauration. Sa vie est certes au bord du Saint Laurent, mais son coeur est partagé entre le Québec et cette autre contrée d'irréductibles qui l'a vue naitre en 1966?: la Catalogne française.
ORHDOUS SYLVESTRE - L'articulation des aphorismes
« L'horizon céleste n'est pas les étoiles, bien qu'elles représentent la notion « d'état lumineux », voire « d'esprit lumineux ».
La notion de mise au monde, tout être la connait, même les carottes à travers leurs fanes qui contiennent des graines. La Terre aussi peut faire l'amour grâce à un météore, car un tout petit morceau de météorite est transmetteur de nouvelles vies. »
Armelle Lugaz dite Sylvestre Orhdous est née en 1979 et vit en région lyonnaise. Elle a déjà publié un recueil de poésies, Si léger va le vent, et un essai de philosophie hassidique, Le guimoul ou être unique entre les montagnes.
DESVINS MICHEL - STOP !
L'improbable rencontre avec cette oeuvre majeure, PO - La Transfiguration idéale, s'est transformée au fil des ans en une sublime révélation. Ce livre révèle le difficile parcours d'authentification de cette découverte. In fine, ces vingt-cinq années de recherches prouvent que Paul Gauguin était un véritable précurseur de l'abstraction en peinture. Cet immémorial représente sa vision ésotérique Enata qu'il a découverte aux Marquises. Le testament spirituel de l'artiste est enfin retrouvé.
La conceptualisation de ce Golgotha polynésien primordialiste, à l'instar des calvaires bretons, dévoile son apostasie. Finalement, cette crucifixion laisse place à l'envol de son âme à partir d'un arbre à pain. Soit, une danse de la mort paienne et chamanique. Les derniers écrits du peintre, cachés depuis des décennies, ne pouvaient pas être compris en dehors de cette oeuvre. Gauguin est mort athée et en totale harmonie avec ce sacré primordial. Cette expérience a eu le pouvoir de modifier le paradigme des croyances de l'auteur et l'ouverture d'esprit de tous ceux qui ont eu la chance et le plaisir d'approcher ce talisman.
Dans cet ouvrage autobiographique, l'auteur dévoile comment, après de longues investigations, il a réussi à déjouer les machinations des Wildenstein. Le prochain récit, «Ultime vision de Paul Gauguin à Hiva OA», saura vous apporter toutes les précisions sur qui était véritablement Paul Gauguin aux Marquises. Il corrigera les erreurs et les mensonges rabâchés à l'ennui depuis cent dix-sept ans sur ce sujet.