Plongez dans l'univers de nos auteurs
BERNARD OLIVIER - Les portes de l'esprit
Des voyants, des fantômes, des personnes qui les chassent, des portes qui claquent et des objets en lévitation...
Non, vous n'êtes pas au sein d'un conte fantastique mais bien au coeur de l'étrange et de l'insaisissable.
Je vais tenter à travers cet ouvrage d'ouvrir les portes de votre esprit en allant chercher dans les recoins les plus isolés de vos certitudes, des faits et phénomènes impalpables. Je suis allé à la rencontre de professionnels inconnus ou reconnus, le CNRS, l'IMI, la médecine et recueilli leurs témoignages.
La tentation de la censure prend parfois le pas sur la mission encyclopédique que j'aborde ici car il s'agissait pour moi de compléter l'enquête théorique et souvent farfelue par quelques éclairages concrets.
Questions d'autant plus cruciales que l'ésotérisme fédère un public nombreux, parfois spécialisé, aux attentes auxquelles j'espère répondre fidèlement.
Sans certitudes absolues ni doute exacerbé, je vous invite à un voyage dans une dimension inconnue aux confins de vos rêves, aux limites de votre acceptation à travers des récits vérifiés qui vont remettre en cause ce que vous preniez pour acquis.
C'est grâce à ses dons certains pour le dessin, qu'Olivier BERNARD intègre l'École Supérieure d'Art Moderne à Paris 16 qu'il quittera prématurément sans aucun diplôme avant de se découvrir une nouvelle passion pour la photographie. Désireux de plonger dans la vie active, il enchainera les petits boulots mais exercera également à des postes à responsabilités notamment comme huissier d'un ministre de la République ou encore greffier. Olivier est un rêveur qui a soif d'apprendre. Après un service militaire à ses 19 ans pendant la guerre du Golfe, il continue de toucher à tout, essaye, expérimente et ne se satisfait pas de ce qui est acquis par tout le monde. Se passionnant pour les phénomènes paranormaux et tous les mystères non résolus ou les contradictions de ce monde, il va s'atteler sinon à les résoudre, à en savoir plus sur tous les sujets.
LEMENUEL MICHEL - La Fuite
Adolphe Hitler s'est suicidé dans son bunker le 30 avril 1945. C'est ce que l'histoire nous dit.
Ce n'est pourtant pas ce qu'a vécu Hans Dieter Altzig. En avril 1945, il avait alors 14 ans et a été raflé dans Berlin en ruines par une unité SS. Bien contre son gré, il a été transformé en enfant malade du typhus servant de caution à un convoi sanitaire qui quittait Berlin. Dans ce convoi, se trouvaient Adolphe Hitler et cinq garçons de son âge. À ce qu'il avait deviné, l'arrivée de ce voyage, escorté par des SS en blouses blanches, allait se faire au monastère de San Girolamo sur la côte Est de l'Italie. Il a ensuite vite compris que l'escorte n'avait pas l'intention de laisser des témoins derrière elle. Il a alors décidé de s'enfuir à la première occasion dans les montagnes autrichiennes et de sauver sa vie.
Aujourd'hui seul survivant de cette équipée, il a bien conscience d'être le dernier témoin en vie. Sous la pression de sa fille, il s'est résolu à raconter cette incroyable aventure qu'il nous livre ici.
Michel LEMENUEL est un explorateur. Né en 1946 d'une mère infirmière et d'un père professeur, il a grandi dans un milieu modeste et instruit qui lui a donné le gout de se cultiver. Et ensuite, il a visité la vie... Il a d'abord été marin plusieurs années, puis régisseur de théâtre, chroniqueur de spectacles, accompagnateur de voyages et enfin éducateur spécialisé. Au cours de cette déambulation, il a fait ample moisson de perceptions, d'impressions, de découvertes, d'enseignements et de visages. Aujourd'hui retraité, il a le temps d'écrire et de rendre à la vie ce qu'elle lui a offert à travers ses romans. Il a gardé son amour pour la mer, parce que selon lui : la mer est une musique, insaisissable comme elle et tout aussi mouvante. Et j'ai une passion pour la grande musique.
VANTROYS MARC - Le Tunnel – Ou comment la Grande Guerre aurait pu se terminer un an et demi plus tôt
1914. La guerre éclate. Paul, brillant ingénieur des houillères du Nord, est mobilisé comme tous les jeunes de son âge. Les offensives successives des uns et des autres ne leur permettent à chaque fois que d’avancer de quelques centaines de mètres, sur un terrain tellement meurtri qu’il est devenu incultivable.
Paul, dont l’intelligence ne passe pas inaperçue, propose alors de creuser un tunnel. Un tunnel suffisamment large pour y faire passer, en une nuit, plus de 200 000 hommes, afin d’attaquer les Allemands à revers.
L’opération doit impérativement rester secrète.