Plongez dans l'univers de nos auteurs
QUIONQUION ANDRE - Très chère et vulnérable pensée
L'homme nait avec un vide qu'il ne peut remplir lui-même, mystère que notre très chère et vulnérable pensée cherche à combler vainement.
Si l'homme pouvait penser qu'il n'est pas seulement neuronal, composé uniquement de chair mais qu'il est aussi fils du Dieu créateur, révélateur de l'esprit suprême l'homme serait sérénité.
Notre très chère et vulnérable pensée s'entête à s'abreuver, de satisfaire ce vide mystérieux par de nouvelles lumières naissant des universités des réseaux sociaux. Les fils et les filles de Dieu s'éduquent mais s'égarent dans des sectarismes de tout genre : culturel, religieux, alimentaire...
À travers des textes poétiques engagés, l'auteur nous plonge dans son intimité, de la pensée vulnérable de sa jeunesse jusqu'aux questionnements de l'homme qu'il est devenu.
Un recueil bien pensé sur la déchéance des sociétés, la fragilité, l'agitation du moral de l'homme tout simplement neuronal.
André QUIONQUION est journaliste reporter d'images. Ce chercheur sur l'histoire maritime et navale des Caraibes est aussi amateur de poésie sur la pensée non conventionnelle.
MARCIL JEAN-SIMON - Les enquêtes de Laura Bernard
En l’espace de trois mois, quatre cadavres ont été découverts dans l’arrondissement de Chicoutimi par les policiers de la ville de Saguenay. Devant l’urgence d’appréhender le tueur, les forces de l’ordre font appel à l’officier Daniel Delorme, afin qu’il puisse leur envoyer son meilleur enquêteur pour élucider ces homicides aux mises en scène inquiétantes.
Il s’agit bien sûr de Laura Bernard, celle qui a participé à l’une des plus grandes chasses à l’homme du pays et qui a permis d’arrêter l’assassin au barbelé.
Laura Bernard, la plus jeune profileuse du Québec, ne fait pourtant pas l’unanimité. Voies de fait, refus d’obéissance, individualiste et anticonformiste, cette agente spéciale dérange. Pourtant, cette enquête nécessite son aide pour appréhender ce tueur.
DIOGO DE ASCENCAO AMELIE - Partir pour une vie meilleure
Comme beaucoup de Lusitaniens, mon père Fernando voulait fuir la pauvreté de la campagne dans laquelle nous vivions et ne supportait plus le régime autoritaire d'Antonio de Oliveira Salazar.
Laissant derrière lui sa famille et sa ferme, il se décida à partir clandestinement pour la France, avec deux amis, début février 1965. Ils avaient deux frontières à franchir mais surtout, devaient traverser une bonne partie du territoire espagnol qui se trouvait encore sous la coupe de Franco.
Malgré les risques, Fernando fit tout pour réussir sa quête et ainsi nous offrir une vie meilleure.
Ce récit retrace notre vie, dans le contexte historique de l'époque, au Portugal, puis en France. Il relate l'exploit, le courage d'un père, mais aussi d'une mère qui, laissée seule, devrait travailler à la ferme, s'occuper de ses cinq filles, attendre et espérer qu'un beau jour, la famille serait à nouveau réunie.
Amélie DIOGO DE ASCENÇAO voit le jour dans un petit village du centre du Portugal. Dans ce premier écrit, elle retrace son histoire familiale, et plus particulièrement l'exploit de Fernando, son papa.