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ZAHOUA JULES - Sôkô - À titre posthume
En partageant son histoire et les souvenirs marquants de son enfance, Jules Zahoua rend hommage à sa mère à titre posthume, pour son courage, sa probité et sa dignité.
Après avoir perdu son mari, elle a voulu rester seule et s’occuper de ses enfants, seule. Dans une société où régnait le patriarcat, cette femme courageuse a décidé de s’affranchir des règles sociales pour être libre et indépendante afin de donner une éducation à ses enfants, selon sa vision de la vie future.
Jules finit par partir en Europe pour ses études et s’éloigne de sa mère malgré les gros problèmes de santé dont elle souffrait. C’est aujourd’hui, avec beaucoup de remords qu’il souhaite lui rendre hommage et faire passer un message aux lecteurs : même à distance, préservez le lien qui vous unit à votre mère et portez-lui toute l’attention qu’elle mérite.
MICHELS GEORGES - Vache de chemin ! - Avec moi jusqu'au bout ? Envers et contre tout ?
Amitié, rires, souffrances, tendresse et… tristesse !
Que d’émotions !
Avec Vache de Chemin, vous nous accompagnerez avec ma complice Fauvette et notre amie Lena, entre l’Aubrac et Roncevaux dans une marche parallèle au GR65, que nous évitons par prudence. Vous vivrez nos péripéties et en particulier, celles d’un quatuor de marcheurs que nous suivîmes et eûmes tout loisir d’observer et qui, en fait, nous servit de guide, sauf quand nous remontâmes pour retrouver notre pré carré et… la vie réelle.
Alors, nous suivrez-vous dans notre roman au parfum de promenade philosophique ? Pour, avant une réflexion sociétale autour du Vivant, découvrir enfin son narrateur et sa compagne, et affronter une réalité inattendue, impensable ?
EL HADI GHASSAN - Entre Zéphyr
Une anatomie des rêves. La friction entre notre inconscient et la vie de tous les jours. Des souvenirs font surface, réels ou pensés, sans être concrétisés. Ils le seront pourtant, sur le papier, puisque tout ce qui est écrit l’est pour toujours et personne d'autre ne peut le réécrire.
Mes mots sont des branches dans l’immense arbre de l’imaginaire collectif. Les rêves sont les extensions réelles de nos vies, dans mes rêves j’esquisse le territoire de mon au-delà.
Je crois que j’étais une lionne dans ma vie passée, un être parfait. Les animaux ne font qu’un avec leurs instincts, l’homme vit au gré de la poésie, notre mémoire commune.